Les paroles de la chanson
« L'animal »
Klub Des Loosers
Elle est toute mouillée, surtout que son papa ne la change pas
Elle est parfaite comme ça n’a plus besoin de couche depuis longtemps
Je l’embrasse tendrement, attentif à ses mouvements
Entre adultes consentants, nous passons un bon moment
Je veux jouir sur son visage, qu’elle oublie de tout nettoyer
Et que dans son joli cou fin de ma semence puisse sécher
Tous ses collègues croiront qu’elle pèle quand elle arrivera au boulot
Parce que je suis comme un soleil auquel elle s’expose un peu trop
La première fois elle n’a pas saigné comme beaucoup d’ex-ballerines
N’en avait pas tellement envie, c’était pour faire comme ses copines
Elle dit qu’elle ne se souvient pas du nom du type, je fais semblant
D’écouter ses histoires d’ados dont je me fous complètement
J’attends que nous remettions ça jusqu’à ce qu’elle dise : "je n’en peux plus"
Je suis venu pour rallumer la flamme du baiseur inconnu
Elle dit qu’elle n’est qu’humanité, moi je me fous de son curriculum
Pour elle je ne serai ni le premier ni le dernier des hommes
Je tiens à elle comme à un grain de sable trouvé sur la plage
En fait mieux vaut ne pas comprendre ce que chante un oiseau en cage
Et c’est dommage je n’y peux rien ce sont toujours les mêmes fins
Ça ne roule pas entre nous et ce sont toujours les mêmes freins
Elle aurait bien voulu voler mon cœur mais elle s’était fait prendre
Je restais ferme comme ses cuisses, elle finirait par comprendre
Triste sourire, clope au bec désolé pour les traces de cendres
Nous sommes de la mauvaise viande, difficile d’être tendre
La laideur se fait plus discrète dans la pénombre et le silence
Je rallumerai si tu te tais comme tu es belle cela compense
Toutes ces filles se ressemblent comme les allées d’un cimetière
Rendez-vous à la maternité mais je ne serai pas le père
Si je m’envoie des fleurs, la carte sera signée connard
Beau bouquet de roses rouge sang avec quelques bleuets cocards
Quand je serai froid enterre-moi dans le cimetière animalier
Viens et dis bien à tes gosses que tu aimais me caresser
Elle est parfaite comme ça n’a plus besoin de couche depuis longtemps
Je l’embrasse tendrement, attentif à ses mouvements
Entre adultes consentants, nous passons un bon moment
Je veux jouir sur son visage, qu’elle oublie de tout nettoyer
Et que dans son joli cou fin de ma semence puisse sécher
Tous ses collègues croiront qu’elle pèle quand elle arrivera au boulot
Parce que je suis comme un soleil auquel elle s’expose un peu trop
La première fois elle n’a pas saigné comme beaucoup d’ex-ballerines
N’en avait pas tellement envie, c’était pour faire comme ses copines
Elle dit qu’elle ne se souvient pas du nom du type, je fais semblant
D’écouter ses histoires d’ados dont je me fous complètement
J’attends que nous remettions ça jusqu’à ce qu’elle dise : "je n’en peux plus"
Je suis venu pour rallumer la flamme du baiseur inconnu
Elle dit qu’elle n’est qu’humanité, moi je me fous de son curriculum
Pour elle je ne serai ni le premier ni le dernier des hommes
Je tiens à elle comme à un grain de sable trouvé sur la plage
En fait mieux vaut ne pas comprendre ce que chante un oiseau en cage
Et c’est dommage je n’y peux rien ce sont toujours les mêmes fins
Ça ne roule pas entre nous et ce sont toujours les mêmes freins
Elle aurait bien voulu voler mon cœur mais elle s’était fait prendre
Je restais ferme comme ses cuisses, elle finirait par comprendre
Triste sourire, clope au bec désolé pour les traces de cendres
Nous sommes de la mauvaise viande, difficile d’être tendre
La laideur se fait plus discrète dans la pénombre et le silence
Je rallumerai si tu te tais comme tu es belle cela compense
Toutes ces filles se ressemblent comme les allées d’un cimetière
Rendez-vous à la maternité mais je ne serai pas le père
Si je m’envoie des fleurs, la carte sera signée connard
Beau bouquet de roses rouge sang avec quelques bleuets cocards
Quand je serai froid enterre-moi dans le cimetière animalier
Viens et dis bien à tes gosses que tu aimais me caresser