Les paroles de la chanson
« L'angélus de la mer »
André Dassary
A l’horizon se lève et rit l’aube vermeille...
Marins perdus en mer!
Voici l’heure où là-bas le vieux clocher s’éveille
Et chante au matin clair...
Entendez-vous? Dans la brise qui jase
Tinte l’écho des cloches du pays,
Les flots joyeux que la lumière embrase
Ondulent plus blonds que les blonds épis...
{Refrain:}
Au loin, c’est l’Angélus!
C’est l’Angélus qui sonne
A genoux donc sous le ciel bleu,
A genoux donc et priez Dieu!
Laboureurs de la mer,
Et que le jour rayonne!
C’est l’Angélus!
C’est l’Angélus!
C’est l’Angélus!
Sur nos mâts triomphants le soleil plane et brille...
Marins perdus en mer!
Voici l’heure là-bas s’incline la faucille
Qui fauche le blé clair...
Entendez-vous? Dans la brise hautaine,
Dans l’air poudreux où flambent des rayons,
Vibre l’appel d’une cloche lointaine,
Comme pour bénir nos fiers pavillons...
{Refrain}
Les feux mourants du jour on empourpré nos voiles...
Marins perdus en mer!
Voici l’heure où là-bas s’allument les étoiles,
Brodant l’azur moins clair...
Entendez-vous dans la brise qui rêve
Des sons divins qui semblent s’approcher?
Le paysan, dont le labeur s’achève,
Ecoute, pensif, la voix du clocher...
{Refrain}
Marins perdus en mer!
Voici l’heure où là-bas le vieux clocher s’éveille
Et chante au matin clair...
Entendez-vous? Dans la brise qui jase
Tinte l’écho des cloches du pays,
Les flots joyeux que la lumière embrase
Ondulent plus blonds que les blonds épis...
{Refrain:}
Au loin, c’est l’Angélus!
C’est l’Angélus qui sonne
A genoux donc sous le ciel bleu,
A genoux donc et priez Dieu!
Laboureurs de la mer,
Et que le jour rayonne!
C’est l’Angélus!
C’est l’Angélus!
C’est l’Angélus!
Sur nos mâts triomphants le soleil plane et brille...
Marins perdus en mer!
Voici l’heure là-bas s’incline la faucille
Qui fauche le blé clair...
Entendez-vous? Dans la brise hautaine,
Dans l’air poudreux où flambent des rayons,
Vibre l’appel d’une cloche lointaine,
Comme pour bénir nos fiers pavillons...
{Refrain}
Les feux mourants du jour on empourpré nos voiles...
Marins perdus en mer!
Voici l’heure où là-bas s’allument les étoiles,
Brodant l’azur moins clair...
Entendez-vous dans la brise qui rêve
Des sons divins qui semblent s’approcher?
Le paysan, dont le labeur s’achève,
Ecoute, pensif, la voix du clocher...
{Refrain}