Les paroles de la chanson
« L'ami des mauvais jours »
Sylvie Vartan
L’ami des mauvais jours, quand plus rien de va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Jamais je n’oublie, mon meilleur ami
Celui qui partageait mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment
Celui qui reste sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier
L’ami des mauvais jours, des jours de chagrin
Qui vous tend la main, le meilleur copain
Pour lui j’aurai toujours au fond de mon cœur
Une part meilleure, les jours de bonheur
Jamais je n’oublierai celui qui m’a encouragée
Quand tout semblait perdu il est venu
Au moment où rien n’allait plus
Celui qui reste sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier
L’ami des mauvais jours, quand plus rien de va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Sera pour la vie mon meilleur ami
Celui qui partageait mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Jamais je n’oublie, mon meilleur ami
Celui qui partageait mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment
Celui qui reste sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier
L’ami des mauvais jours, des jours de chagrin
Qui vous tend la main, le meilleur copain
Pour lui j’aurai toujours au fond de mon cœur
Une part meilleure, les jours de bonheur
Jamais je n’oublierai celui qui m’a encouragée
Quand tout semblait perdu il est venu
Au moment où rien n’allait plus
Celui qui reste sans jamais me quitter
Quand j’avais le cœur gros il avait le mot
Pour me consoler, me faire oublier
L’ami des mauvais jours, quand plus rien de va
Ça ne s’oublie pas, et voilà pourquoi
L’ami des mauvais jours, de mes jours d’ennui
Sera pour la vie mon meilleur ami
Celui qui partageait mes espoirs et me consolait
Aux plus mauvais moments, le plus souvent
Quand rien ne souriait vraiment