Les paroles de la chanson
« L'adipeux »
Soldat Louis
Le gros qui tient l’bocson
Avait peu d’chance d’être ingénieur
Gros sourcils et p’tit front
Dieu merci ça fait pas docteur
C’est pas qu’j’aime pas c’garçon
On dit qu’y a pas d’race inférieure
Mais quand même chez c’patron
Y’a pas plus d’cervelle que de coeur
Quand j’pense que cet immonde
Fait bouchonner les plus gracieuses
J’en ai vu des girondes
Mais pas si douces si généreuses
Elles viennent du bout du monde
C’est du haut d’gamme de la gagneuse
Plus elles causent plus ça tombe
Mais via sa caisse enregistreuse
Deux mots sur l’baleineau
Qui dégouline à la pointeuse
Les poumons bien trop gros
Débordant d’une dentelle douteuse
C’est du genre botero
En un peu plus celluliteuse
A l’oreille le stylo
Le bijou qui compte les roteuses
C’t’une affaire de dodus
D’un négrier d’une Thénardière
Pourquoi ces deux locdus
N’ont pas fait boucher charcutière
Mais t’es si bien reçu
Par les colombes de la volière
Qu’t’oublies ces trous du cul
Surtout celui de la tolière
J’en r’viens à mon goret
Ma tête de noeud à mon infâme
Car monsieur se permet
Non seulement d’exploiter les dames
Mais aussi de voter
Ainsi donc d’exprimer sa flamme
Revêche à l’imigrée
Qui n’a rien d’autre que ses charmes
Il est gerbant l’affreux
L’ninas bloqué entre les dents
Un regard de fiévreux
Un vilain rictus permanent
Dire que c’crétin d’mes deux
A un jour été un enfant
A brailler des areu
A la grande fierté d’ses parents
Ce quintal de saindoux
Passe ses nuits devant l’élégance
De sirènes pas d’chez nous
Mais qui donnent leur corps pour la France
J’ai envie d’faire des trous
Envie d’lui suriner la panse
Et le tout à l’gout
Son cétacé j’lui laisse une chance
Si j’te dis qu’l’adipeux
C’est pas mon pôte t’auras compris
S’il s’retrouve chez les bleus
J’pleurai pas du moins pas sur lui
Quand au tas monstrueux
Qui lui sert de femme dans la vie
Vu qu’elle ne vaut pas mieux
Qu’ils aillent au diable mais sans les filles
Avait peu d’chance d’être ingénieur
Gros sourcils et p’tit front
Dieu merci ça fait pas docteur
C’est pas qu’j’aime pas c’garçon
On dit qu’y a pas d’race inférieure
Mais quand même chez c’patron
Y’a pas plus d’cervelle que de coeur
Quand j’pense que cet immonde
Fait bouchonner les plus gracieuses
J’en ai vu des girondes
Mais pas si douces si généreuses
Elles viennent du bout du monde
C’est du haut d’gamme de la gagneuse
Plus elles causent plus ça tombe
Mais via sa caisse enregistreuse
Deux mots sur l’baleineau
Qui dégouline à la pointeuse
Les poumons bien trop gros
Débordant d’une dentelle douteuse
C’est du genre botero
En un peu plus celluliteuse
A l’oreille le stylo
Le bijou qui compte les roteuses
C’t’une affaire de dodus
D’un négrier d’une Thénardière
Pourquoi ces deux locdus
N’ont pas fait boucher charcutière
Mais t’es si bien reçu
Par les colombes de la volière
Qu’t’oublies ces trous du cul
Surtout celui de la tolière
J’en r’viens à mon goret
Ma tête de noeud à mon infâme
Car monsieur se permet
Non seulement d’exploiter les dames
Mais aussi de voter
Ainsi donc d’exprimer sa flamme
Revêche à l’imigrée
Qui n’a rien d’autre que ses charmes
Il est gerbant l’affreux
L’ninas bloqué entre les dents
Un regard de fiévreux
Un vilain rictus permanent
Dire que c’crétin d’mes deux
A un jour été un enfant
A brailler des areu
A la grande fierté d’ses parents
Ce quintal de saindoux
Passe ses nuits devant l’élégance
De sirènes pas d’chez nous
Mais qui donnent leur corps pour la France
J’ai envie d’faire des trous
Envie d’lui suriner la panse
Et le tout à l’gout
Son cétacé j’lui laisse une chance
Si j’te dis qu’l’adipeux
C’est pas mon pôte t’auras compris
S’il s’retrouve chez les bleus
J’pleurai pas du moins pas sur lui
Quand au tas monstrueux
Qui lui sert de femme dans la vie
Vu qu’elle ne vaut pas mieux
Qu’ils aillent au diable mais sans les filles