Les paroles de la chanson
« Kemper »
Gilles Servat
KEMPER
Deux bateaux descendaient vers l’ouest
Deux rivières capricieuses
Leur voyage dura vingt ans.
Parfois le bon courant les portait
Dans l’air sain des arbres penchés sur les rives
Parfois il fallait souquer ferme
Pour déjouer les pièges des marécages
De l’eau dormante ou des rapides.
Souvent il fallait mettre au sec
Pour calfater, remâter ou recoudre
Et faire de longues escales pour remplir les cales
Plus d’une fois même il fallut changer d’équipage.
Un jour, un jour de joyeux beau temps
Les deux bateaux arrivèrent au confluent
Où les deux rivières brassent leurs eaux
Ils décidèrent de s’unir en un seul navire
Baptisé Kemper.
Harpe dressé à l’étrave
Poussé par le souffle de la musique
Animé par le verbe des Celtes
Guidés par un albatros fou
Kemper s’avance vers les îles
Où la mer embrasse le soleil.
Deux bateaux descendaient vers l’ouest
Deux rivières capricieuses
Leur voyage dura vingt ans.
Parfois le bon courant les portait
Dans l’air sain des arbres penchés sur les rives
Parfois il fallait souquer ferme
Pour déjouer les pièges des marécages
De l’eau dormante ou des rapides.
Souvent il fallait mettre au sec
Pour calfater, remâter ou recoudre
Et faire de longues escales pour remplir les cales
Plus d’une fois même il fallut changer d’équipage.
Un jour, un jour de joyeux beau temps
Les deux bateaux arrivèrent au confluent
Où les deux rivières brassent leurs eaux
Ils décidèrent de s’unir en un seul navire
Baptisé Kemper.
Harpe dressé à l’étrave
Poussé par le souffle de la musique
Animé par le verbe des Celtes
Guidés par un albatros fou
Kemper s’avance vers les îles
Où la mer embrasse le soleil.