Les paroles de la chanson
« Juste pour voir le monde »
La Chicane
C’est plus l’temps de reculer
J’trouve ça ben effrayant
J’suis deux semaines à l’affiche
J’en demandais pas autant
C’est sûr, j’suis ben content, mais d’un autre côté
Ça m’poche toujours en dedans
J’peux pas m’empêcher d’chanter
On aurait certainement pas dû aller
Chanter dans les bars, où on est resté accroché
Crier ben fort pour pas s’décourager
Sortir ben tard juste pour voir le monde vibrer devant moé
Juste pour voir le monde
Avec cette musique douce qui nous élève l’âme
Nous restons sans rien dire il nous suffit de vivre
Et en écoutant bien ce que j’essaie de dire
Il n’en reste pas moins que j’aime vraiment m’faire applaudir
On aurait certainement pas dû aller
Chanter dans les bars, où on est resté accroché
Crier ben fort pour pas s’décourager
Sortir ben tard juste pour voir le monde vibrer devant moé
Juste pour voir le monde
Maintenant c’est à mon tour de vous parler d’amour
J’espère ben réussir à vous l’faire ressentir
Partout où vous m’verrez, gardez ben en souvnir
Que peu importe c’que j’ai, ça sera pas moé qui va changer
J’trouve ça ben effrayant
J’suis deux semaines à l’affiche
J’en demandais pas autant
C’est sûr, j’suis ben content, mais d’un autre côté
Ça m’poche toujours en dedans
J’peux pas m’empêcher d’chanter
On aurait certainement pas dû aller
Chanter dans les bars, où on est resté accroché
Crier ben fort pour pas s’décourager
Sortir ben tard juste pour voir le monde vibrer devant moé
Juste pour voir le monde
Avec cette musique douce qui nous élève l’âme
Nous restons sans rien dire il nous suffit de vivre
Et en écoutant bien ce que j’essaie de dire
Il n’en reste pas moins que j’aime vraiment m’faire applaudir
On aurait certainement pas dû aller
Chanter dans les bars, où on est resté accroché
Crier ben fort pour pas s’décourager
Sortir ben tard juste pour voir le monde vibrer devant moé
Juste pour voir le monde
Maintenant c’est à mon tour de vous parler d’amour
J’espère ben réussir à vous l’faire ressentir
Partout où vous m’verrez, gardez ben en souvnir
Que peu importe c’que j’ai, ça sera pas moé qui va changer