Les paroles de la chanson
« Jusqu'à venise »
François Deguelt
Crois- tu que pour s’aimer
Il faut aller
Jusqu’à Venise
S’embarquer pour Cythère
Fair’ le tour de la terr’
La terr’ promise
Pourquoi toujours partir
L’amour nous en fait dire
De ces bêtises
Dans un élan de joie
Tu t’es donné à moi
Tendre et soumise
Vois-tu dans les chansons
L’amour ça tourne en rond
C’est monotone
C’est toujours la même chose
On effeuille les roses
Et l’on s’étonne
Souvent que l’amour soit
Un mot qui ne s’emploie
Que par méthode
Ca devient commercial
On dit que ça fait mal
Mais c’est la mode
2
Crois-tu que pour s’aimer
Il faut toujours chanter
Qu’on se déchire
Y’a des gens qui vraiment
N’ont pas énormément
De chose à dire
Quand on est amoureux
Et que l’on est heureux
Ca parait bête
Y’a rien à raconter
Et rien pour fair’ pleurer
La midinette
Tu éteins la lumière
Et le bruit de la terre
Nous abandonne
Tu glisses dans mes bras
Ton corps chaud contre moi
Et l’on se donne
Alors le monde entier
Pourrait bien chavirer
Qu’on se le dise
Nous deux on s’aimerait
Nous qui n’irons jamais
Jusqu’à, jusqu’à Venise
Il faut aller
Jusqu’à Venise
S’embarquer pour Cythère
Fair’ le tour de la terr’
La terr’ promise
Pourquoi toujours partir
L’amour nous en fait dire
De ces bêtises
Dans un élan de joie
Tu t’es donné à moi
Tendre et soumise
Vois-tu dans les chansons
L’amour ça tourne en rond
C’est monotone
C’est toujours la même chose
On effeuille les roses
Et l’on s’étonne
Souvent que l’amour soit
Un mot qui ne s’emploie
Que par méthode
Ca devient commercial
On dit que ça fait mal
Mais c’est la mode
2
Crois-tu que pour s’aimer
Il faut toujours chanter
Qu’on se déchire
Y’a des gens qui vraiment
N’ont pas énormément
De chose à dire
Quand on est amoureux
Et que l’on est heureux
Ca parait bête
Y’a rien à raconter
Et rien pour fair’ pleurer
La midinette
Tu éteins la lumière
Et le bruit de la terre
Nous abandonne
Tu glisses dans mes bras
Ton corps chaud contre moi
Et l’on se donne
Alors le monde entier
Pourrait bien chavirer
Qu’on se le dise
Nous deux on s’aimerait
Nous qui n’irons jamais
Jusqu’à, jusqu’à Venise