Les paroles de la chanson
« June »
Indochine
Je crois que je respire
Et mes doigts que j’inspire
J’avale et je recrache
Je me remplis et me vide
De mon âge...
Je me fais que du bien
Et je me fais que du sale c’est normal
J’adore donner mon sang
Et j’en donne toujours le plus souvent...
Pourquoi j’en donne aussi souvent
Que j’adore autant que ça me fait mal
Tu vois comment
A l’intérieur... de moi
Je me sens
Personne ne voit
Et ne s’aperçoit de ce qui m’attend
Pour Ô moi
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
J’essaye et j’essaye mais je n’y arrive pas
Mais ne m’oubliez pas
Je mange et je m’ennuie
De ma vie j’anorexie
Si je bois ce poison
Qui sait si je grandirai
Dans la nuit
Je ne rêve plus à rien
Je sens que je me profane
Ô mon âme...
Maman j’ai peur de tout ce que j’ai à l’intérieur
O maman pourquoi j’ai si peur que tout commence
Et que tout m’écoeure
Tu vois comment
A l’intérieur... de moi
Je me sens
Personne ne voit
Et ne s’aperçoit de ce qui m’attend
Pourquoi Ô moi
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
Mais je disparais
Et mes doigts que j’inspire
J’avale et je recrache
Je me remplis et me vide
De mon âge...
Je me fais que du bien
Et je me fais que du sale c’est normal
J’adore donner mon sang
Et j’en donne toujours le plus souvent...
Pourquoi j’en donne aussi souvent
Que j’adore autant que ça me fait mal
Tu vois comment
A l’intérieur... de moi
Je me sens
Personne ne voit
Et ne s’aperçoit de ce qui m’attend
Pour Ô moi
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
J’essaye et j’essaye mais je n’y arrive pas
Mais ne m’oubliez pas
Je mange et je m’ennuie
De ma vie j’anorexie
Si je bois ce poison
Qui sait si je grandirai
Dans la nuit
Je ne rêve plus à rien
Je sens que je me profane
Ô mon âme...
Maman j’ai peur de tout ce que j’ai à l’intérieur
O maman pourquoi j’ai si peur que tout commence
Et que tout m’écoeure
Tu vois comment
A l’intérieur... de moi
Je me sens
Personne ne voit
Et ne s’aperçoit de ce qui m’attend
Pourquoi Ô moi
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
Je ne suis qu’une fille qui s’éteint
Mais je disparais