Les paroles de la chanson
« Joujou »
Divers
Un jour je flânais, sans savoir pourquoi
J’avais mal aux nerfs jusqu’au bout des doigts
Les gens m’agaçaient, je les trouvais bêtes,
Une envie de pleurer ou de faire la fête.
Tiens! un attroupement, voiture, bouquet blanc,
C’est un grand mariage, y a sûrement de l’argent,
Voici la mariée, la foule s’écrie ce qu’elle est jolie,
Ce qu’elle a du chic, alors, je regarde, et je crois rêver,
Sous ce voile blanc, je viens de retrouver
{Refrain:}
Joujou, mon petit bijou, ma jolie poupée des belles années,
Que j’ai tant aimée, je t’appelais ainsi, car tu m’avais dit
Que les belles poupées ne sont que des joujoux
Que les doigts des hommes brisent comme des fous,
Poupée, joujou d’amour, poupée, joujou, plaisir d’un jour.
Et la jalousie me tordit le cœur,
Tu ne tiens pas encore ce rêve de bonheur,
Une affreuse pensée dans ma tête roule
D’un geste brutal j’écarte la foule
J’allais lui crier, c’est moi ton amant,
J’allais arracher ce voile tout blanc,
Quand j’ai vu ses yeux, ses yeux de martyre
Des yeux malheureux qui semblaient me dire :
C’est vous le coupable, et vous me jugez!
Alors j’ai pleuré et j’ai murmuré
{au Refrain}
Quand on a vingt ans, et si l’on savait
Qu’un premier baiser ne s’oublie jamais,
Je ne serais pas le pauvre qui pleure
Comme un malheureux seul dans sa demeure,
Les regrets sont vains quand tout est fini,
Et cette chanson que pour vous j’écris,
J’irai la chanter sous votre fenêtre
Car je ne peux plus envoyer de lettre,
Peut-être que jamais nous nous reverrons
C’est pourquoi je viens implorer mon pardon
{au Refrain}
J’avais mal aux nerfs jusqu’au bout des doigts
Les gens m’agaçaient, je les trouvais bêtes,
Une envie de pleurer ou de faire la fête.
Tiens! un attroupement, voiture, bouquet blanc,
C’est un grand mariage, y a sûrement de l’argent,
Voici la mariée, la foule s’écrie ce qu’elle est jolie,
Ce qu’elle a du chic, alors, je regarde, et je crois rêver,
Sous ce voile blanc, je viens de retrouver
{Refrain:}
Joujou, mon petit bijou, ma jolie poupée des belles années,
Que j’ai tant aimée, je t’appelais ainsi, car tu m’avais dit
Que les belles poupées ne sont que des joujoux
Que les doigts des hommes brisent comme des fous,
Poupée, joujou d’amour, poupée, joujou, plaisir d’un jour.
Et la jalousie me tordit le cœur,
Tu ne tiens pas encore ce rêve de bonheur,
Une affreuse pensée dans ma tête roule
D’un geste brutal j’écarte la foule
J’allais lui crier, c’est moi ton amant,
J’allais arracher ce voile tout blanc,
Quand j’ai vu ses yeux, ses yeux de martyre
Des yeux malheureux qui semblaient me dire :
C’est vous le coupable, et vous me jugez!
Alors j’ai pleuré et j’ai murmuré
{au Refrain}
Quand on a vingt ans, et si l’on savait
Qu’un premier baiser ne s’oublie jamais,
Je ne serais pas le pauvre qui pleure
Comme un malheureux seul dans sa demeure,
Les regrets sont vains quand tout est fini,
Et cette chanson que pour vous j’écris,
J’irai la chanter sous votre fenêtre
Car je ne peux plus envoyer de lettre,
Peut-être que jamais nous nous reverrons
C’est pourquoi je viens implorer mon pardon
{au Refrain}