Les paroles de la chanson
« Joues, joues, joues »
Graeme Allwright
Tu joues, joues, joues nuit et jour, jour et nuit
Comme sur un’ scène tu joues, joues ta vie
Tu joues avec les autres comme des figurants flatteurs
Qui sont tout juste bons pour vous mettre en valeur.
Et si de temps en temps tu veux calmer tes envies
Tu dis:,c’est moi qui mène c’est moi qui choisis
Et quand ils ont rempli leur besogne animale
Tu les jettes avec dégoût comme on jetterait son journal.
Quand ils deviennent gênants, quand ils devienne trop fous
Comme la Reine dans Alice tu cries tranchez le cou
Mais le grand amour, il faut l’avoir connu
Tu en a trouvé un, mais impossible bien entendu.
Tu l’entretiens à coups d’ soupirs, à coups de pleurs
Mais comme tu aimes le drame, tu trouves ton compte dans le malheur
Ça te donnes du mystère pour tous ceux qui t’entoure
Et tu peux dire tout haut que tu connais le grand amour.
J’ crois qu’ je peux prédire même n’étant pas prophète
Qu’un jour ou l’autre ça va te tomber sur la tête
Le réveil sera pénible, ma chatte, ma jolie
Ce jour-là quand le charme sera parti.
Mais, en attendant continue c’ n’est pas encor’ trop tard
Tu est belle tu plais toujours même s’il te faut un peu de fard
Vas-y joue, joue, joue, fais pleurer, fais souffrir
Y en aura toujours, pour applaudir.
Comme sur un’ scène tu joues, joues ta vie
Tu joues avec les autres comme des figurants flatteurs
Qui sont tout juste bons pour vous mettre en valeur.
Et si de temps en temps tu veux calmer tes envies
Tu dis:,c’est moi qui mène c’est moi qui choisis
Et quand ils ont rempli leur besogne animale
Tu les jettes avec dégoût comme on jetterait son journal.
Quand ils deviennent gênants, quand ils devienne trop fous
Comme la Reine dans Alice tu cries tranchez le cou
Mais le grand amour, il faut l’avoir connu
Tu en a trouvé un, mais impossible bien entendu.
Tu l’entretiens à coups d’ soupirs, à coups de pleurs
Mais comme tu aimes le drame, tu trouves ton compte dans le malheur
Ça te donnes du mystère pour tous ceux qui t’entoure
Et tu peux dire tout haut que tu connais le grand amour.
J’ crois qu’ je peux prédire même n’étant pas prophète
Qu’un jour ou l’autre ça va te tomber sur la tête
Le réveil sera pénible, ma chatte, ma jolie
Ce jour-là quand le charme sera parti.
Mais, en attendant continue c’ n’est pas encor’ trop tard
Tu est belle tu plais toujours même s’il te faut un peu de fard
Vas-y joue, joue, joue, fais pleurer, fais souffrir
Y en aura toujours, pour applaudir.