Les paroles de la chanson
« Joli joli mois de mai »
Andre Bourvil
Joli, joli, joli mois de mai,
celle que j’aimais
m’abandonnne.
Elle est partie pour longtemps,
chercher ailleurs son printemps.
Joli, joli, joli mois de mai,
je n’ai désormais
plus personne.
Il faut que tu me pardonnes,
si je n’ai pas le coeur gai.
A la ville on criait,
ach’tez du muguet,
ça porte bonheur.
J’en ai pris un bouquet
mais ça n’a rien fait,
c’est tous des farceurs.
Joli, joli, joli mois de mai,
avec mon bouquet j’ai l’air dôle.
Y a même des gens qui rigolent
Joli, joli mois de mai.
Joli, joli, joli mois de mai,
même si ça me fait
quelque chose,
il faut que je soie content,
c’est la fête du printemps.
Joli, joli, joli mois de mai,
c’est ton premier jour,
ça s’arrose.
Je veux voir la vie en rose,
joli, joli mois de mai.
Arrosons le muguet,
je veux être gai
et vaille que vaille.
J’ai l’droit d’être pompette,
si c’est pas ma fête,
c’est celle du travail.
Joli, joli, joli mois de mai,
ô toi qui connait
tant de chose,
toi qui fait naître les roses,
fais qu’elle revienne vers moi
joli, joli, joli mois
joli, joli, mois de mai,
joli, joli, joli mai.
Une de perdue, dix de retrouvées
heureusement que vient l’été
avec ses plages ensoleillées
et toutes ces formes dénudées
Douces courbures, belles cambrures,
la femme en joue sans un’ rature.
celle que j’aimais
m’abandonnne.
Elle est partie pour longtemps,
chercher ailleurs son printemps.
Joli, joli, joli mois de mai,
je n’ai désormais
plus personne.
Il faut que tu me pardonnes,
si je n’ai pas le coeur gai.
A la ville on criait,
ach’tez du muguet,
ça porte bonheur.
J’en ai pris un bouquet
mais ça n’a rien fait,
c’est tous des farceurs.
Joli, joli, joli mois de mai,
avec mon bouquet j’ai l’air dôle.
Y a même des gens qui rigolent
Joli, joli mois de mai.
Joli, joli, joli mois de mai,
même si ça me fait
quelque chose,
il faut que je soie content,
c’est la fête du printemps.
Joli, joli, joli mois de mai,
c’est ton premier jour,
ça s’arrose.
Je veux voir la vie en rose,
joli, joli mois de mai.
Arrosons le muguet,
je veux être gai
et vaille que vaille.
J’ai l’droit d’être pompette,
si c’est pas ma fête,
c’est celle du travail.
Joli, joli, joli mois de mai,
ô toi qui connait
tant de chose,
toi qui fait naître les roses,
fais qu’elle revienne vers moi
joli, joli, joli mois
joli, joli, mois de mai,
joli, joli, joli mai.
Une de perdue, dix de retrouvées
heureusement que vient l’été
avec ses plages ensoleillées
et toutes ces formes dénudées
Douces courbures, belles cambrures,
la femme en joue sans un’ rature.