Les paroles de la chanson
« Joe dassin ce n'est pas une fille »
Joe Dassin
Passe-moi ma veste... pas question que je reste.
Allez, oublie-moi, de toute façon je fous le camp.
Jusqu’à ce jour jamais encore, jamais je n’ai pu m’arrêter;
Je cours sur les chemins du monde entier, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin...
Ce n’est pas une fille qui pourra me garder!
Même la plus jolie ne me verra qu’un été...
Jamais on ne retrouve le temps de ses vingt ans,
Ni le temps de courir les chemins, non, rien ne me retient.
Ce n’est pas une fille, non, qui m’arrêtera,
Même la plus jolie, jamais, jamais ne me reverra!
On dit que je suis vagabond, que je suis un mauvais garçon...
On peut le dire - ça ne change rien, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin.
J’ai rencontré sur ma route tant de filles qui font rêver,
Mais je sais trop bien que toutes ne pensent qu’à me changer.
Là-bas l’herbe est si verte, là-bas la mer est si bleue...
Je sais que la route m’est ouverte, je pars sans un adieu.
Ce n’est pas une fille, non, qui m’arrêtera,
Même la plus jolie, jamais, jamais ne me reverra!
Jusqu’à ce jour jamais encore, jamais je n’ai pu m’arrêter;
Je cours sur les chemins du monde entier, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin, toujours plus loin, toujours plus loin...
Toujours plus loin!
Allez, oublie-moi, de toute façon je fous le camp.
Jusqu’à ce jour jamais encore, jamais je n’ai pu m’arrêter;
Je cours sur les chemins du monde entier, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin...
Ce n’est pas une fille qui pourra me garder!
Même la plus jolie ne me verra qu’un été...
Jamais on ne retrouve le temps de ses vingt ans,
Ni le temps de courir les chemins, non, rien ne me retient.
Ce n’est pas une fille, non, qui m’arrêtera,
Même la plus jolie, jamais, jamais ne me reverra!
On dit que je suis vagabond, que je suis un mauvais garçon...
On peut le dire - ça ne change rien, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin.
J’ai rencontré sur ma route tant de filles qui font rêver,
Mais je sais trop bien que toutes ne pensent qu’à me changer.
Là-bas l’herbe est si verte, là-bas la mer est si bleue...
Je sais que la route m’est ouverte, je pars sans un adieu.
Ce n’est pas une fille, non, qui m’arrêtera,
Même la plus jolie, jamais, jamais ne me reverra!
Jusqu’à ce jour jamais encore, jamais je n’ai pu m’arrêter;
Je cours sur les chemins du monde entier, je vais toujours, toujours, toujours,
Toujours plus loin, toujours plus loin, toujours plus loin...
Toujours plus loin!