Les paroles de la chanson
« Jeu de massacre »
Klub Des Loosers
L’avenir du monde à l’entrejambe, ils se promènent d’un pas léger
Sur chaque culotte et caleçon on devrait voir marqué "danger"
Car tous se reproduisent, forniquent mélangent leurs fluides si vite
Souvent le soir j’entends l’humanité chialer, parce que trop grosse, trop de gosses, le tien n’était pas nécessaire
Il a les yeux de sa mère mais pas le regard de son père
Que va t-il faire à part souffler son CO² six décennies?
C’est décidé ma descendance ne connaîtra que le plastique
Pratique, économies sur la pension alimentaire
Avec l’argent des jouets je pars tout claquer dans la bière
Pas fier, chez l’épicer, vu que le type m’a vu grandir
Passer des bonbecs au whisky, feuilles OCB et briquets
Je ne veux pas t’écouter c’est chiant comme effriter à l’allumette
Dans le vent, une voix m’a dit t’aurais jamais fait ça avant
Grandir c’est compter les potes morts à la place des bonbons
Ils m’attendent tous au paradis mais je n’aime pas trop la science-fiction
Personne n’est irremplaçable demande au gosse des barres Kinder
Un peu partout la même odeur ça pue la peur et la sueur
Le couple un truc qui finit mal comme dans Kramer contre Kramer
J’aimerais signer plus de chèques qu’un vieux avec Alzheimer
Je t’ai manqué? Mal visé, comme Mehmet Ali Agça
Lunettes de gosse de divorcés, double-foyer plus de cadeaux aux fêtes
L’amour est mort minable en s’enfonçant dans ses mensonges
Pas de noyade dans un verre d’eau parce que mon cœur est une éponge
Et dans mes songes, ils viennent, petits sadiques en culottes courtes
Le chat à terre, le crâne ouvert, les cris de joie, les jets de pierres
Et les coups de pieds donnés très fort dans son corps mou pour s’endurcir
Sang séché sur les chaussures qu’un peu de pluie fera partir
Laissé pour mort il miaule encore et je dois l’achever en chialant
En maudissant la race humaine, économise car tout se paie
Je tiens les comptes dans mon cahier, le mercredi seul au zoo
Je regarde les gens qui regardent les animaux
Qui regardent tristement les gens et je choisis mon camp
Mes pistolets sont en plastique pour vous tuer ce n’est pas pratique
Il y a des cimetières dans ma tête que je remplis tout doucement
Pendant la classe, assis au fond, toujours prêt à les voir venir
Ternir leurs sourires de vainqueurs à la pointe du canif
Sur les journaux je m’entraîne leur fait le sourire de la mort
Je n’ai pas oublié leurs noms il n’y aura pas de prescription
Puisse le cancer les avoir tôt pour m’éviter la prison
Sur chaque culotte et caleçon on devrait voir marqué "danger"
Car tous se reproduisent, forniquent mélangent leurs fluides si vite
Souvent le soir j’entends l’humanité chialer, parce que trop grosse, trop de gosses, le tien n’était pas nécessaire
Il a les yeux de sa mère mais pas le regard de son père
Que va t-il faire à part souffler son CO² six décennies?
C’est décidé ma descendance ne connaîtra que le plastique
Pratique, économies sur la pension alimentaire
Avec l’argent des jouets je pars tout claquer dans la bière
Pas fier, chez l’épicer, vu que le type m’a vu grandir
Passer des bonbecs au whisky, feuilles OCB et briquets
Je ne veux pas t’écouter c’est chiant comme effriter à l’allumette
Dans le vent, une voix m’a dit t’aurais jamais fait ça avant
Grandir c’est compter les potes morts à la place des bonbons
Ils m’attendent tous au paradis mais je n’aime pas trop la science-fiction
Personne n’est irremplaçable demande au gosse des barres Kinder
Un peu partout la même odeur ça pue la peur et la sueur
Le couple un truc qui finit mal comme dans Kramer contre Kramer
J’aimerais signer plus de chèques qu’un vieux avec Alzheimer
Je t’ai manqué? Mal visé, comme Mehmet Ali Agça
Lunettes de gosse de divorcés, double-foyer plus de cadeaux aux fêtes
L’amour est mort minable en s’enfonçant dans ses mensonges
Pas de noyade dans un verre d’eau parce que mon cœur est une éponge
Et dans mes songes, ils viennent, petits sadiques en culottes courtes
Le chat à terre, le crâne ouvert, les cris de joie, les jets de pierres
Et les coups de pieds donnés très fort dans son corps mou pour s’endurcir
Sang séché sur les chaussures qu’un peu de pluie fera partir
Laissé pour mort il miaule encore et je dois l’achever en chialant
En maudissant la race humaine, économise car tout se paie
Je tiens les comptes dans mon cahier, le mercredi seul au zoo
Je regarde les gens qui regardent les animaux
Qui regardent tristement les gens et je choisis mon camp
Mes pistolets sont en plastique pour vous tuer ce n’est pas pratique
Il y a des cimetières dans ma tête que je remplis tout doucement
Pendant la classe, assis au fond, toujours prêt à les voir venir
Ternir leurs sourires de vainqueurs à la pointe du canif
Sur les journaux je m’entraîne leur fait le sourire de la mort
Je n’ai pas oublié leurs noms il n’y aura pas de prescription
Puisse le cancer les avoir tôt pour m’éviter la prison