Les paroles de la chanson
« Jeu d'enfant »
Sinsemilia
Papa et maman parlent de divorce souvent
Histoires de compte commun
Histoires de comptes courants
L’argent n’ fait pas l’ bonheur et pourtant
J’ai parfois l’impression que l’amour en dépend
Ca doit etre pour ça que papa prétend
Que l’amour est une affaire de grands
En amour il y a aussi des histoires de maîtresses
Ce que papa appelle de simples histoires de fesse
Mais maman dit que ça la blesse
Papa lui dit qu’il l’aime et les larmes disparaissent
Moi avec ma maîtresse, ma seule histoire de fesse
Est une grosse fessée pour cause d’impolitesse
Enfin, tout ça me semble bien complexe
Finalement je n’sais pas si l’amour m’interesse?
LAISSONS LES ENFANTS VIVRE
LAISSONS LEUR JUSTE UNE CHANCE
DE NE PAS NOUS RESSEMBLER
LAISSONS LES ENFANTS LIBRE
LAISSONS LEUR INNOCENCE
RAFRAICHIR NOS IDEES
MAIS LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
ET COMME DES BETES SAUVAGES
ON CHERCHE A LES DOMPTER
LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
CAR DANS LEURS YEUX DE SAGES
ON VOIT LA LIBERTE
Papa et maman ne vont pas fort en ce moment
La vie, le boulot et puis le mauvais temps
Et moi qui suis dans les nuages tout l’temps
Papa dit qu’il n’est pas normal de planer autant!
D’ailleurs maman veut m’envoyer chez le psy
Je rêve le jour, elle n’en dort plus la nuit
Elle veut que j’ailles voir le docteur aussi
Car elle est épuisée par mon trop plein d’énergie
Moi, les nuages, si j’pouvais y aller vraiment
je m’y serais installé depuis longtemps
Je suis sûr que là haut, on respire plus facilement
Mais je suis déjà trop lourd malheureusement
Ma tête déjà trop pleine de principes encomprants
Qui m’attirent au sol comme un aimant
Papa et maman s’inquiètent pour l’avenir
de temps en tenps
Devant la télé, affalés sur le divan
Comme le changement ils n’y croient plus vraiment
Ils veulent juste sauver leur peau
Et celle de leurs enfants
Maman m’a dit de n’pas parler aux inconnus
De tracer droit lorsque je marche dans la rue
Alors je me camoufle et passe imaperçu
Pour éviter les piéges que la vie m’a tendus
Moi, la vie, j’aimerais y planter toutes mes dents
Quitte à en laisser quelques-unes dedans
Mais soyons raisonnables, restons méfiants
Car il paraît que Dieu punit les imprudents!
On est bien sûr de soi quand on est grand
Avec notre savoir, notre morale
Tous ces principes auxquels on tient tant
Mais c’est souvent trop tard que comprend
Que le bonheur etait simple
Simple comme un jeu d’enfant
Histoires de compte commun
Histoires de comptes courants
L’argent n’ fait pas l’ bonheur et pourtant
J’ai parfois l’impression que l’amour en dépend
Ca doit etre pour ça que papa prétend
Que l’amour est une affaire de grands
En amour il y a aussi des histoires de maîtresses
Ce que papa appelle de simples histoires de fesse
Mais maman dit que ça la blesse
Papa lui dit qu’il l’aime et les larmes disparaissent
Moi avec ma maîtresse, ma seule histoire de fesse
Est une grosse fessée pour cause d’impolitesse
Enfin, tout ça me semble bien complexe
Finalement je n’sais pas si l’amour m’interesse?
LAISSONS LES ENFANTS VIVRE
LAISSONS LEUR JUSTE UNE CHANCE
DE NE PAS NOUS RESSEMBLER
LAISSONS LES ENFANTS LIBRE
LAISSONS LEUR INNOCENCE
RAFRAICHIR NOS IDEES
MAIS LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
ET COMME DES BETES SAUVAGES
ON CHERCHE A LES DOMPTER
LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
CAR DANS LEURS YEUX DE SAGES
ON VOIT LA LIBERTE
Papa et maman ne vont pas fort en ce moment
La vie, le boulot et puis le mauvais temps
Et moi qui suis dans les nuages tout l’temps
Papa dit qu’il n’est pas normal de planer autant!
D’ailleurs maman veut m’envoyer chez le psy
Je rêve le jour, elle n’en dort plus la nuit
Elle veut que j’ailles voir le docteur aussi
Car elle est épuisée par mon trop plein d’énergie
Moi, les nuages, si j’pouvais y aller vraiment
je m’y serais installé depuis longtemps
Je suis sûr que là haut, on respire plus facilement
Mais je suis déjà trop lourd malheureusement
Ma tête déjà trop pleine de principes encomprants
Qui m’attirent au sol comme un aimant
Papa et maman s’inquiètent pour l’avenir
de temps en tenps
Devant la télé, affalés sur le divan
Comme le changement ils n’y croient plus vraiment
Ils veulent juste sauver leur peau
Et celle de leurs enfants
Maman m’a dit de n’pas parler aux inconnus
De tracer droit lorsque je marche dans la rue
Alors je me camoufle et passe imaperçu
Pour éviter les piéges que la vie m’a tendus
Moi, la vie, j’aimerais y planter toutes mes dents
Quitte à en laisser quelques-unes dedans
Mais soyons raisonnables, restons méfiants
Car il paraît que Dieu punit les imprudents!
On est bien sûr de soi quand on est grand
Avec notre savoir, notre morale
Tous ces principes auxquels on tient tant
Mais c’est souvent trop tard que comprend
Que le bonheur etait simple
Simple comme un jeu d’enfant