Les paroles de la chanson
« Jérusalem, j'ai froid »
Enrico Macias
Dans tous mes rêves, je crois te voir parfois
Toute en lumière, debout et fière de toi
On m’a volé les Tables de la Loi
Mais je garde espoir
La force d’y croire
Pour tenir le coup
Et rester debout
Dans tous mes rêves, il y a la Liberté
La délivrance dans tous les poings levés
Ce sont mes frères que je veux retrouver
Moi, Boris-Jacob,
Je veux vivre en homme
Parler en hébreu
Pouvoir croire en Dieu
Jérusalem, j’ai froid!
De l’Ukraine à ton coeur
Y a mes nuits sans sommeil et sans chaleur
Jérusalem, j’ai froid!
Tu vois, quitte à mourir
Même en prison
Moi, j’ai refusé d’obéir
Jérusalem, j’ai froid!
Je ne sais plus que faire
Pour briser les barreaux de cet enfer
Jérusalem, j’ai froid!
Je veux voir tes remparts
Et m’évader de la folie des derniers tsars
Dans le silence, je vois mourir les jours
A nos souffrances, le monde reste sourd
C’est une honte, l’injure d’un faux procès
Moi, Boris-Jacob,
Ils m’ont enfermé
Ma seule dissidence
C’est vouloir t’aimer
Jérusalem, j’ai froid!
De l’Ukraine à ton coeur
Y a mes nuits sans sommeil et sans chaleur
Jérusalem, j’ai froid!
Tu vois, quitte à mourir
Même en prison
Je refuse encore d’obéir
Jérusalem, j’ai froid!
Un jour prochain, j’espère
Je briserai les murs de cet enfer
Jérusalem, j’ai froid!
Et, s’il n’est pas trop tard
J’irai prier sous le soleil de tes remparts
Loin, dans mes rêves
Je crois te voir parfois
Toute en lumière, debout et fière de toi
On m’a volé les Tables de la Loi
Mais je garde espoir
La force d’y croire
Pour tenir le coup
Et rester debout
Dans tous mes rêves, il y a la Liberté
La délivrance dans tous les poings levés
Ce sont mes frères que je veux retrouver
Moi, Boris-Jacob,
Je veux vivre en homme
Parler en hébreu
Pouvoir croire en Dieu
Jérusalem, j’ai froid!
De l’Ukraine à ton coeur
Y a mes nuits sans sommeil et sans chaleur
Jérusalem, j’ai froid!
Tu vois, quitte à mourir
Même en prison
Moi, j’ai refusé d’obéir
Jérusalem, j’ai froid!
Je ne sais plus que faire
Pour briser les barreaux de cet enfer
Jérusalem, j’ai froid!
Je veux voir tes remparts
Et m’évader de la folie des derniers tsars
Dans le silence, je vois mourir les jours
A nos souffrances, le monde reste sourd
C’est une honte, l’injure d’un faux procès
Moi, Boris-Jacob,
Ils m’ont enfermé
Ma seule dissidence
C’est vouloir t’aimer
Jérusalem, j’ai froid!
De l’Ukraine à ton coeur
Y a mes nuits sans sommeil et sans chaleur
Jérusalem, j’ai froid!
Tu vois, quitte à mourir
Même en prison
Je refuse encore d’obéir
Jérusalem, j’ai froid!
Un jour prochain, j’espère
Je briserai les murs de cet enfer
Jérusalem, j’ai froid!
Et, s’il n’est pas trop tard
J’irai prier sous le soleil de tes remparts
Loin, dans mes rêves
Je crois te voir parfois