Les paroles de la chanson
« Jenny, jenny »
Dominique Comont
Il est des soirs d’été
Si doux, si rouges, si tendres
Où les lumières du ciel
Nous semblaient tout comprendre
Elles pourraient nous faire croire
Que nous ne mourrons jamais
Elles pourraient nous faire croire
Que nous ne mourrons jamais
Te rapelles-tu ces dimanches qui paressaient sans fin
Dans nos chemises nlanches on n’avait presque rien
On écoutait le fleuve répondre à nos frissons
Nos corps dans l’herbe folle bercés par l’horizon
Ô Jenny, Jenny ne vas pas si loin
Ô Jenny, Jenny tu vas toujours trop loin
Je ne suis pas tranquille quand tu t’en vas au loin
Ô Jenny, Jenny tu vas toujours trop loin
Les soldats sont venus, en nombre et en fusils
Carapaces uniformes et mauvais rires aussi
Ils ont fait une frontière du fleuve de notre enfance
Tourbillons militaires et bordel en cadence
Ô Jenny, Jenny ne vas pas si loin
Ô Jenny, Jenny ne vas pas trop loin
Ils sont sur l’autre rives, les milices et les chiens
Sentinelles en dérive et braillards assassins
Je ne suis pas tranquille quand tu flanes en silence
Mon amour d’innocence à portée de leurs mains
Les coquelicots si rouges se confondent en ton sang
Regarde tes cheveux bougent
A moins que ce ne soit
Le vent...
Si doux, si rouges, si tendres
Où les lumières du ciel
Nous semblaient tout comprendre
Elles pourraient nous faire croire
Que nous ne mourrons jamais
Elles pourraient nous faire croire
Que nous ne mourrons jamais
Te rapelles-tu ces dimanches qui paressaient sans fin
Dans nos chemises nlanches on n’avait presque rien
On écoutait le fleuve répondre à nos frissons
Nos corps dans l’herbe folle bercés par l’horizon
Ô Jenny, Jenny ne vas pas si loin
Ô Jenny, Jenny tu vas toujours trop loin
Je ne suis pas tranquille quand tu t’en vas au loin
Ô Jenny, Jenny tu vas toujours trop loin
Les soldats sont venus, en nombre et en fusils
Carapaces uniformes et mauvais rires aussi
Ils ont fait une frontière du fleuve de notre enfance
Tourbillons militaires et bordel en cadence
Ô Jenny, Jenny ne vas pas si loin
Ô Jenny, Jenny ne vas pas trop loin
Ils sont sur l’autre rives, les milices et les chiens
Sentinelles en dérive et braillards assassins
Je ne suis pas tranquille quand tu flanes en silence
Mon amour d’innocence à portée de leurs mains
Les coquelicots si rouges se confondent en ton sang
Regarde tes cheveux bougent
A moins que ce ne soit
Le vent...