Les paroles de la chanson
« Je vis ma mort à chaque instant »
Marie-Paule Belle
De tout mon corps, de tout mon sang
Je vis ma mort à chaque instant
Comme une chambre inhabitée
Comme une plage à marée basse
Devant la mer qui me ressasse
Des mots amers, des mots de mort
Qui tourbillonnent et qui se cassent
Et tu habites dans mon corps
{Refrain:}
Et je t’arracherai
Et je séparerai
La nuit de ses racines
Ma vie de son tracé
L’amour de sa famine
Les journées de leurs lois
Je le ferai
Même si j’en meurs une autre fois
Et je t’arracherai
Et je séparerai
Le cri des épousailles
De nos corps emmêlés
Comme sont les broussailles
Sur les champs de bataille
Que seul un incendie peut séparer
De tout mon corps, de tout mon sang
Je vis ma mort à chaque instant
Comme un chantier rongé de rouille
Comme un parking désaffecté
Une cité morte où tu fouilles
Pour des vestiges éclatés
Et tu habites une dépouille
Que le froid vient de calciner
{au Refrain}
Et je t’arracherai
Et je séparerai
Le cri des épousailles
De nos corps emmêlés
Comme sont les broussailles
Sur les champs de bataille
Que seul un incendie peut séparer
Je vis ma mort à chaque instant
Comme une chambre inhabitée
Comme une plage à marée basse
Devant la mer qui me ressasse
Des mots amers, des mots de mort
Qui tourbillonnent et qui se cassent
Et tu habites dans mon corps
{Refrain:}
Et je t’arracherai
Et je séparerai
La nuit de ses racines
Ma vie de son tracé
L’amour de sa famine
Les journées de leurs lois
Je le ferai
Même si j’en meurs une autre fois
Et je t’arracherai
Et je séparerai
Le cri des épousailles
De nos corps emmêlés
Comme sont les broussailles
Sur les champs de bataille
Que seul un incendie peut séparer
De tout mon corps, de tout mon sang
Je vis ma mort à chaque instant
Comme un chantier rongé de rouille
Comme un parking désaffecté
Une cité morte où tu fouilles
Pour des vestiges éclatés
Et tu habites une dépouille
Que le froid vient de calciner
{au Refrain}
Et je t’arracherai
Et je séparerai
Le cri des épousailles
De nos corps emmêlés
Comme sont les broussailles
Sur les champs de bataille
Que seul un incendie peut séparer