Les paroles de la chanson
« Je te laisse ce monde »
Lazuli
Derrière nous l’histoire
Et ses allers retours,
Comme une balançoire
nous revient toujours.
Derrière nous l’histoire
Encore et toujours la même,
Leçons illusoires
Sur le même thème.
Un pas en avant,
Un pas en arrière,
Un recommencement
Aujourd’hui comme hier,
Une histoire qui bégaye,
Une redite, un écho,
Comme l’avant veille,
Une redite, un écho.
Fils, je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils, je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.
Au fond du passé
Enterré le déni,
Comme si de rien était,
Comme si
Comme si nous pouvions
Nier l’évidence,
De la répétition
De nos incohérences.
Le temps est un tiroir,
L’homme y range les blessures,
Les blessures de l’histoire,
L’histoire d’être sûr,
De s’endormir en paix,
Sans regrets, sans remords
Et pouvoir récidiver
Demain encore.
Fils, je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils, je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.
Vois l’incandescence
des enfants au teint blafard,
Imbibés de violence
Comme des buvards,
Qui se perdent comme leurs pères,
A faire et refaire
Le nœud coulant
De la boucle du temps.
Le temps est une passoire
Qui épure les consciences,
Une passoire à mémoires
Qui sauve les apparences
Et même si c’est lourd,
N’oublie pas d’où tu viens,
Va vers le nouveau jour
Qui se lève demain...
Fils je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.
Et ses allers retours,
Comme une balançoire
nous revient toujours.
Derrière nous l’histoire
Encore et toujours la même,
Leçons illusoires
Sur le même thème.
Un pas en avant,
Un pas en arrière,
Un recommencement
Aujourd’hui comme hier,
Une histoire qui bégaye,
Une redite, un écho,
Comme l’avant veille,
Une redite, un écho.
Fils, je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils, je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.
Au fond du passé
Enterré le déni,
Comme si de rien était,
Comme si
Comme si nous pouvions
Nier l’évidence,
De la répétition
De nos incohérences.
Le temps est un tiroir,
L’homme y range les blessures,
Les blessures de l’histoire,
L’histoire d’être sûr,
De s’endormir en paix,
Sans regrets, sans remords
Et pouvoir récidiver
Demain encore.
Fils, je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils, je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.
Vois l’incandescence
des enfants au teint blafard,
Imbibés de violence
Comme des buvards,
Qui se perdent comme leurs pères,
A faire et refaire
Le nœud coulant
De la boucle du temps.
Le temps est une passoire
Qui épure les consciences,
Une passoire à mémoires
Qui sauve les apparences
Et même si c’est lourd,
N’oublie pas d’où tu viens,
Va vers le nouveau jour
Qui se lève demain...
Fils je te laisse ce monde
Comme on laisse un fardeau,
Fils je te laisse mes rêves
Comme on laisse un radeau.