Les paroles de la chanson
« Je te dis merci »
Cristof Gere
Si c’était pour m’avertir
Pour de faux, pour me faire réagir,
Et si c’était pour me sortir
Du trou où je risquais de moisir,
Si c’était pour me réveiller,
Me faire écrire et composer
Des mots acerbes pour me secouer,
Pas me faire mal juste me brusquer
Alors d’accord
J’ai compris
Et de tout mon corps
Je te dis merci
Mais si c’était rien de tout ça,
Tes phrases tu peux te les garder
Je te détesterai pour ça,
Te haïrai à en pleurer
Tu auras perdu ma confiance
C’est que ta parole ne valait rien
Tu n’auras pas de dernière chance
Et je m’en irai dès demain
Si c’était pour me faire pâlir
En quelque sorte, juste pour rire,
Pour m’interpeller, me retenir
De tomber dans une vie sans désir
Si c’était juste pour mon bien,
Pour m’aiguiller vers le bon chemin
Pour m’aider, mais sans me faire de peine
Uniquement parce que tu m’aimes
Alors d’accord
J’ai compris
Je me sens plus fort
Et te dis merci
Oui si c’était rien de tout ça
Tu peux repartir d’où tu viens
La trahison, sûr, me tuera,
Dans les yeux, regarde-moi bien
Tu m’auras déçu comme personne
Tu ne peux pas imaginer
A quel point la rancœur me cogne
Mais je n’peux pas m’imaginer
que ce soit quelque chose comme ça
C’était sûrement pour m’avertir
Je crois que je m’en veux déjà
De le penser et de l’écrire
Pour de faux, pour me faire réagir,
Et si c’était pour me sortir
Du trou où je risquais de moisir,
Si c’était pour me réveiller,
Me faire écrire et composer
Des mots acerbes pour me secouer,
Pas me faire mal juste me brusquer
Alors d’accord
J’ai compris
Et de tout mon corps
Je te dis merci
Mais si c’était rien de tout ça,
Tes phrases tu peux te les garder
Je te détesterai pour ça,
Te haïrai à en pleurer
Tu auras perdu ma confiance
C’est que ta parole ne valait rien
Tu n’auras pas de dernière chance
Et je m’en irai dès demain
Si c’était pour me faire pâlir
En quelque sorte, juste pour rire,
Pour m’interpeller, me retenir
De tomber dans une vie sans désir
Si c’était juste pour mon bien,
Pour m’aiguiller vers le bon chemin
Pour m’aider, mais sans me faire de peine
Uniquement parce que tu m’aimes
Alors d’accord
J’ai compris
Je me sens plus fort
Et te dis merci
Oui si c’était rien de tout ça
Tu peux repartir d’où tu viens
La trahison, sûr, me tuera,
Dans les yeux, regarde-moi bien
Tu m’auras déçu comme personne
Tu ne peux pas imaginer
A quel point la rancœur me cogne
Mais je n’peux pas m’imaginer
que ce soit quelque chose comme ça
C’était sûrement pour m’avertir
Je crois que je m’en veux déjà
De le penser et de l’écrire