Les paroles de la chanson
« Je t'écrivais »
Anne Vanderlove
Je t’écrivais, je t’écrivais
Des mots que tu n’as pas reçus,
Des mots que tu n’as jamais lus
Et que tu ne liras jamais
Poste restante au vent du nord,
Porte battante et froid dehors,
Le vent du nord souffle trop fort
A travers ce pauvre décor
Les mots sont comme une mélodie
Qui garde notre âme vivante
Et c’est pour ça que je les chante
Contre la mort, contre l’oubli
Poste restante, j’veux pas rester
Porte battante et cœur noyé,
Il pleut toujours lorsque l’amour
N’est qu’une absence à contre-jour
Chansons de toutes les couleurs,
Chansons qui rient, chansons qui pleurent,
Chansons cueillies comme des fleurs
Dans vos amours et dans vos cœurs
Poste restante au vent du nord,
Porte battante et froid dehors,
Que souffle encore le vent du nord
Je chanterai de plus en plus fort
Je chanterai, je chanterai
Des mots qui voleront peut-être
Au-delà des murs sans fenêtres
Et qu’on ne peut emprisonner
Je t’écrivais, je t’écrivais
Poste restante et cœur noyé,
Je me souviens, je t’écrivais,
Je t’écrivais, je t’écrivais.
Des mots que tu n’as pas reçus,
Des mots que tu n’as jamais lus
Et que tu ne liras jamais
Poste restante au vent du nord,
Porte battante et froid dehors,
Le vent du nord souffle trop fort
A travers ce pauvre décor
Les mots sont comme une mélodie
Qui garde notre âme vivante
Et c’est pour ça que je les chante
Contre la mort, contre l’oubli
Poste restante, j’veux pas rester
Porte battante et cœur noyé,
Il pleut toujours lorsque l’amour
N’est qu’une absence à contre-jour
Chansons de toutes les couleurs,
Chansons qui rient, chansons qui pleurent,
Chansons cueillies comme des fleurs
Dans vos amours et dans vos cœurs
Poste restante au vent du nord,
Porte battante et froid dehors,
Que souffle encore le vent du nord
Je chanterai de plus en plus fort
Je chanterai, je chanterai
Des mots qui voleront peut-être
Au-delà des murs sans fenêtres
Et qu’on ne peut emprisonner
Je t’écrivais, je t’écrivais
Poste restante et cœur noyé,
Je me souviens, je t’écrivais,
Je t’écrivais, je t’écrivais.