Les paroles de la chanson
« Je suis plus près de toi »
Jacques Douai
Je plante un arbre sec dans le ventre du feu
La mèche usée du jour charbonne sous la pluie
Naissent les bruits du soir j’entends renter les bœufs
La pendule a moulu des minutes de suie
Je suis plus près de toi
Qui brouilles le parcours
Et qui laisses ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue
Je saurai désormais comment souffrir d’amour
Perdu au bord des champs dans les boues de l’automne
Je connaissais la peine à Paris dans les tours
C’est bien une douleur pareille, un même cours
Je suis plus près de toi,
Qui brouilles le parcours
Et qui laisses ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi,
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue
L’hiver est un roi mort empenné de corbeau
Il ouvre, il m’attendais, il me rit comme un frère
Les chambres sont parées d’un damier de vieux os
L’âge que j’ai ce soir pèse comme une pierre
Je suis plus près de toi,
Qui brouille le parcours
Et qui laisse ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi,
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue
La mèche usée du jour charbonne sous la pluie
Naissent les bruits du soir j’entends renter les bœufs
La pendule a moulu des minutes de suie
Je suis plus près de toi
Qui brouilles le parcours
Et qui laisses ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue
Je saurai désormais comment souffrir d’amour
Perdu au bord des champs dans les boues de l’automne
Je connaissais la peine à Paris dans les tours
C’est bien une douleur pareille, un même cours
Je suis plus près de toi,
Qui brouilles le parcours
Et qui laisses ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi,
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue
L’hiver est un roi mort empenné de corbeau
Il ouvre, il m’attendais, il me rit comme un frère
Les chambres sont parées d’un damier de vieux os
L’âge que j’ai ce soir pèse comme une pierre
Je suis plus près de toi,
Qui brouille le parcours
Et qui laisse ma voix
Dériver sur les mares
Je suis plus près de toi,
Que le vent dans les tours
Que le dégoût des jours
Qui s’attable et me nargue