Les paroles de la chanson
« Je suis né au chili »
Boby Lapointe
Je suis né au Chili maman était au lit et mon Papa
auchi,
mais il n’y resta pas car maman le tapa et Papa
s’épata (Ah!)
il lui dit : le fait est que nous allons fêter l’enfant
que je t’ai fait.
"Il but tant de pots tôt qu’il buta à un poteau, et
typez le topo : Maman dans le coma, papa dans
le moka et moi ne comme aquo :
tout noué tout ténu, tout menu et tout nu, né tout
nu ça nous tue
car de mon corps palot le soleil bouffait la peau
sans vous belle Paula qui de vos mains de fée en
cette fin de mai me graissates le dercheme.
...Et je veux rendre à ma façon grâce à votre
graisse à masser.
Votre saindoux pour le corps c’est ce que mes vers
pour l’âme sont.
De tout ce qu’à ma peau me fites, combien fus-je
épaté de fois!
Combien à vous qui m’épates mon bon petit cœur
confies doit!
Absolument pas liée à vos voisins de palier, mais
n’entendant piailler à poil sur la terrasse sans
chapeau tête rase sans que je m’arrêtasse
enjambant le balcon en un radical bon vous
traitates d’un saleton : ma mère dans le coma,
mon père dans le moka qui me laissaient comaco.
Sortant je ne sais d’où un morceau de saindoux
vous massates soudain ma peau pietre de vos
froids doigts sans rides, vos belles mains;
c’est de vos si jolies phalanges ouatées
que vous m’avez oté au citron et aux mich’ (oui)
...De tout ce qu’à ma peau me fites, combien
fus-je épaté de fois!
Combien à vous qui m’épates mon bon petit cœur
confus doit!
...Et j’ai rendu à ma façon grâce à votre graisse
à masser.
Votre saindoux pour le corps c’est ce que mes vers
pour l’âme sont.
auchi,
mais il n’y resta pas car maman le tapa et Papa
s’épata (Ah!)
il lui dit : le fait est que nous allons fêter l’enfant
que je t’ai fait.
"Il but tant de pots tôt qu’il buta à un poteau, et
typez le topo : Maman dans le coma, papa dans
le moka et moi ne comme aquo :
tout noué tout ténu, tout menu et tout nu, né tout
nu ça nous tue
car de mon corps palot le soleil bouffait la peau
sans vous belle Paula qui de vos mains de fée en
cette fin de mai me graissates le dercheme.
...Et je veux rendre à ma façon grâce à votre
graisse à masser.
Votre saindoux pour le corps c’est ce que mes vers
pour l’âme sont.
De tout ce qu’à ma peau me fites, combien fus-je
épaté de fois!
Combien à vous qui m’épates mon bon petit cœur
confies doit!
Absolument pas liée à vos voisins de palier, mais
n’entendant piailler à poil sur la terrasse sans
chapeau tête rase sans que je m’arrêtasse
enjambant le balcon en un radical bon vous
traitates d’un saleton : ma mère dans le coma,
mon père dans le moka qui me laissaient comaco.
Sortant je ne sais d’où un morceau de saindoux
vous massates soudain ma peau pietre de vos
froids doigts sans rides, vos belles mains;
c’est de vos si jolies phalanges ouatées
que vous m’avez oté au citron et aux mich’ (oui)
...De tout ce qu’à ma peau me fites, combien
fus-je épaté de fois!
Combien à vous qui m’épates mon bon petit cœur
confus doit!
...Et j’ai rendu à ma façon grâce à votre graisse
à masser.
Votre saindoux pour le corps c’est ce que mes vers
pour l’âme sont.