Les paroles de la chanson
« Je sais jamais »
Élodie Frégé
Je sais jamais si tu ris si
Tu ridiculises et délires
Nos regards nos amours sans heures
Ou moindres heurts à attendrir
Si j’arrive à rivaliser
Pour l’or de rares avenirs
Je sais jamais si ta caresse
Est l’encas resté sans saveur
Un oubli, un geste à la place,
Réservé à celle de ton coeur
Si je dois retrouver l’adresse
Des rendez-vous manqués moqueurs
Je voudrais m’asseoir avec toi
A la terrasse d’un café
Je voudrais m’essayer parfois
A vivre nos nuits de journée
Sans cache-cache maladroit
De l’ombre à l’ombre s’inviter
Même si les regards nous rattrapent
Quand la lumière sur nous dérape
Souris le temps suspend son vol
Trois pages figées...puis s’envolent
Souris ses mots battent de l’aile
Trois pigeons flanchent...
Et puis s’en veulent...
Je sais jamais si tu t’appliques
A l’évoquer sans magnifique
L’autre contre qui tu me troques
Parce que tes sentiments s’étriquent
Si je provoque en toi l’attaque,
D’ un coeur trinquant à contre-éthique
Je sais jamais s’il me dévoile,
Si à sa vue j’ai de l’éclat
Si la pensée de moi l’éveille,
L’aveu de ma peau sous les doigts
Si à son coeur il met des voiles
Y’a si peu d’
Tu ridiculises et délires
Nos regards nos amours sans heures
Ou moindres heurts à attendrir
Si j’arrive à rivaliser
Pour l’or de rares avenirs
Je sais jamais si ta caresse
Est l’encas resté sans saveur
Un oubli, un geste à la place,
Réservé à celle de ton coeur
Si je dois retrouver l’adresse
Des rendez-vous manqués moqueurs
Je voudrais m’asseoir avec toi
A la terrasse d’un café
Je voudrais m’essayer parfois
A vivre nos nuits de journée
Sans cache-cache maladroit
De l’ombre à l’ombre s’inviter
Même si les regards nous rattrapent
Quand la lumière sur nous dérape
Souris le temps suspend son vol
Trois pages figées...puis s’envolent
Souris ses mots battent de l’aile
Trois pigeons flanchent...
Et puis s’en veulent...
Je sais jamais si tu t’appliques
A l’évoquer sans magnifique
L’autre contre qui tu me troques
Parce que tes sentiments s’étriquent
Si je provoque en toi l’attaque,
D’ un coeur trinquant à contre-éthique
Je sais jamais s’il me dévoile,
Si à sa vue j’ai de l’éclat
Si la pensée de moi l’éveille,
L’aveu de ma peau sous les doigts
Si à son coeur il met des voiles
Y’a si peu d’