Les paroles de la chanson
« Je ne suis jamais allé aux putes »
Pierre Perret
L’amour est une grande chose
Mais parfois si précaire
Qu’il suscite des névroses
Chez moi c’est tout le contraire
J’ai des ressources physiques
Qui m’ont mis sur la paille
Mais seulement quand je nique
N’oublions pas ce détail
Je n’ suis jamais allé aux putes
Car sans lever le p’tit doigt
Elles sont toutes venues à moi
{Refrain:}
Je n’ suis jamais allé aux putes
J’ai toujours eu l’ choix parmi
Toutes les femmes de mes amis
La nurse en mon enfance
M’enseigna volontiers
Qu’ l’amour dans son urgence
Est souvent monnayé
Mais sortant de sa glotte
C’ qu’elle y avait englouti
Elle m’ dit "Pour toi, mon pote
Ce s’ra toujours gratuit"
{au Refrain}
Servante de l’église
M’éduquant sur le tas
Célébrant une exquise
Propagation d’ la foi
La bonne de l’archiprêtre
Avait une propension
À vider les burettes
Sans lâcher l’ goupillon
{au Refrain}
Des épouses infidèles
S’avèrent aimer beaucoup
Pour la plupart d’entre elles
Le fusil à trois coups
La femme du commissaire
Sans menace ni pression
Vient souvent pour se faire
Tirer sans sommation
{au Refrain}
Voyez la p’tite Marcelle
Qui lèche mieux qu’un cocker
Qu’était encore pucelle
Pas plus tard qu’avant-hier
Cette brave enfant novice
Me surprenant en rut
M’offrit ses bons offices
Pour une pizza Hut
{au Refrain}
La femme du beau Philippe
Qu’on appelait "Gorge Chaude"
Vous fignolait les pipes
Aussi bien qu’à Saint-Claude
Mais j’ préférais Alice
Une blonde diplômée
La fiancée de Maurice
Qui avalait la fumée
Je n’ suis jamais allé aux putes
Car sans lever le p’tit doigt
Elles sont toutes venues à moi
{au Refrain}
Mais parfois si précaire
Qu’il suscite des névroses
Chez moi c’est tout le contraire
J’ai des ressources physiques
Qui m’ont mis sur la paille
Mais seulement quand je nique
N’oublions pas ce détail
Je n’ suis jamais allé aux putes
Car sans lever le p’tit doigt
Elles sont toutes venues à moi
{Refrain:}
Je n’ suis jamais allé aux putes
J’ai toujours eu l’ choix parmi
Toutes les femmes de mes amis
La nurse en mon enfance
M’enseigna volontiers
Qu’ l’amour dans son urgence
Est souvent monnayé
Mais sortant de sa glotte
C’ qu’elle y avait englouti
Elle m’ dit "Pour toi, mon pote
Ce s’ra toujours gratuit"
{au Refrain}
Servante de l’église
M’éduquant sur le tas
Célébrant une exquise
Propagation d’ la foi
La bonne de l’archiprêtre
Avait une propension
À vider les burettes
Sans lâcher l’ goupillon
{au Refrain}
Des épouses infidèles
S’avèrent aimer beaucoup
Pour la plupart d’entre elles
Le fusil à trois coups
La femme du commissaire
Sans menace ni pression
Vient souvent pour se faire
Tirer sans sommation
{au Refrain}
Voyez la p’tite Marcelle
Qui lèche mieux qu’un cocker
Qu’était encore pucelle
Pas plus tard qu’avant-hier
Cette brave enfant novice
Me surprenant en rut
M’offrit ses bons offices
Pour une pizza Hut
{au Refrain}
La femme du beau Philippe
Qu’on appelait "Gorge Chaude"
Vous fignolait les pipes
Aussi bien qu’à Saint-Claude
Mais j’ préférais Alice
Une blonde diplômée
La fiancée de Maurice
Qui avalait la fumée
Je n’ suis jamais allé aux putes
Car sans lever le p’tit doigt
Elles sont toutes venues à moi
{au Refrain}