Les paroles de la chanson
« Je ne me sent vrais que sur scene »
Serge Lama
Elle est pas gaie ma sérénade
Loin des projos tout paraît fade
Les simagrées, les jérémiades,
L’amour, l’amour sont des salades
Loin des estrades
Loin du soleil des projecteurs
Ils sont pâlots les cris du coeur
Ils sont sans sève les serments
Qu’on pleure dans les appartements
Je ne me sens vrai que sur la scène
C’est là que j’ai de la vraie haine,
De la vraie peine à cent pour cent,
Les vraies passions d’un vrai pur-sang
Méfiez-vous, femmes, j’ai souvent
Tendance à forcer mon talent,
A pousser un peu la sono
Quand, tout bas, je vous dis des mots
Je suis sûr de moi quand je chante,
Les vrais mots de la vie qui mentent
Ont du relief sur les podiums,
Des femmes je suis enfin l’homme
Presque un surhomme
Car c’est seulement là qu’elles m’écoutent
Des mots leur tombent goutte à goutte
Dans les oreilles jusqu’au coeur
Ailleurs, les femmes me font peur
Hors la scène, je suis une ombre
Un soleil que la vie fait fondre
Je vis mais je n’existe pas
Je ne suis que le bruit de mon pas
Sur la scène je suis la flamme
Je fixe droit au coeur des femmes
Je fixe dans les yeux, bien droit,
Des hommes bien plus forts que moi.
Loin des projos tout paraît fade
Les simagrées, les jérémiades,
L’amour, l’amour sont des salades
Loin des estrades
Loin du soleil des projecteurs
Ils sont pâlots les cris du coeur
Ils sont sans sève les serments
Qu’on pleure dans les appartements
Je ne me sens vrai que sur la scène
C’est là que j’ai de la vraie haine,
De la vraie peine à cent pour cent,
Les vraies passions d’un vrai pur-sang
Méfiez-vous, femmes, j’ai souvent
Tendance à forcer mon talent,
A pousser un peu la sono
Quand, tout bas, je vous dis des mots
Je suis sûr de moi quand je chante,
Les vrais mots de la vie qui mentent
Ont du relief sur les podiums,
Des femmes je suis enfin l’homme
Presque un surhomme
Car c’est seulement là qu’elles m’écoutent
Des mots leur tombent goutte à goutte
Dans les oreilles jusqu’au coeur
Ailleurs, les femmes me font peur
Hors la scène, je suis une ombre
Un soleil que la vie fait fondre
Je vis mais je n’existe pas
Je ne suis que le bruit de mon pas
Sur la scène je suis la flamme
Je fixe droit au coeur des femmes
Je fixe dans les yeux, bien droit,
Des hommes bien plus forts que moi.