Les paroles de la chanson
« Je n'aurais pas cru ça de toi »
Charles Aznavour
Nous représentions pour beaucoup
L’image d’un couple solide
L’exemple à désigner du doigt
Jusqu’au jour où rentrant chez nous
J’ai trouvé l’appartement vide
Cela ne te ressemblais pas
Je n’aurais pas cru ça de toi
Placards béants, tiroirs vidés
C’est fou ce que le cœur encaisse
Quand le bonheur vole en éclats
Hier encore tu jurais m’aimer
Et tu pars sans laisser d’adresse
Sans un mot griffonné, pourquoi?
Je n’aurais pas cru ça de toi
Je n’aurais pas cru ça de toi
Moi pauvre fou qui prétendais
Que rien au monde ne pourrait
Briser un couple, comme le nôtre
Et muré dans mon désarroi
Je comprends que ces chose-là
Hélas! n’arrivent pas qu’aux autres
On ne peux tomber de plus haut
Tout ce brouille en moi quand je songe
Que l’amour s’est joué de moi
Tes serments n’étais que des mots
Sous lesquels filtraient tes mensonges
Que tu distillais de sang-froid
Je n’aurais pas cru ça de toi
Trois jours sans dormir ni manger
J’ai relancé crevant d’angoisse
Hôpitaux et commissariats
Et puis j’ai dû me résigner
A voir la vérité en face
Tu m’avais rayé d’une croix
Je n’aurais pas cru ça de toi
Sans réfléchir j’ai allumé
Cigarette après cigarette
Bien qu’ayant banni le tabac
Mais que m’importe ma santé
Le ciel me tombait sur la tête
Le sol s’écroulait sous mes pas
Je n’aurais pas cru ça de toi
Je n’aurais pas cru ça de toi
J’avais confiance et rien de plus
Personne au monde n’aurait pu
Semer le doute la dans mon âme
Ma tête sous le couperet
J’aurais juré que tu étais
Différentes des autre femmes
Si par bonheur tu revenais
Je n’en crois rien mais qui peut dire
Je saurais étouffer en moi
Les voix du mal que tu m’as fait
Mais dans mes yeux tu pourras lire
Sur fond de détresse et de joie
Tu vois, je n’aurais pas cru ça de toi
L’image d’un couple solide
L’exemple à désigner du doigt
Jusqu’au jour où rentrant chez nous
J’ai trouvé l’appartement vide
Cela ne te ressemblais pas
Je n’aurais pas cru ça de toi
Placards béants, tiroirs vidés
C’est fou ce que le cœur encaisse
Quand le bonheur vole en éclats
Hier encore tu jurais m’aimer
Et tu pars sans laisser d’adresse
Sans un mot griffonné, pourquoi?
Je n’aurais pas cru ça de toi
Je n’aurais pas cru ça de toi
Moi pauvre fou qui prétendais
Que rien au monde ne pourrait
Briser un couple, comme le nôtre
Et muré dans mon désarroi
Je comprends que ces chose-là
Hélas! n’arrivent pas qu’aux autres
On ne peux tomber de plus haut
Tout ce brouille en moi quand je songe
Que l’amour s’est joué de moi
Tes serments n’étais que des mots
Sous lesquels filtraient tes mensonges
Que tu distillais de sang-froid
Je n’aurais pas cru ça de toi
Trois jours sans dormir ni manger
J’ai relancé crevant d’angoisse
Hôpitaux et commissariats
Et puis j’ai dû me résigner
A voir la vérité en face
Tu m’avais rayé d’une croix
Je n’aurais pas cru ça de toi
Sans réfléchir j’ai allumé
Cigarette après cigarette
Bien qu’ayant banni le tabac
Mais que m’importe ma santé
Le ciel me tombait sur la tête
Le sol s’écroulait sous mes pas
Je n’aurais pas cru ça de toi
Je n’aurais pas cru ça de toi
J’avais confiance et rien de plus
Personne au monde n’aurait pu
Semer le doute la dans mon âme
Ma tête sous le couperet
J’aurais juré que tu étais
Différentes des autre femmes
Si par bonheur tu revenais
Je n’en crois rien mais qui peut dire
Je saurais étouffer en moi
Les voix du mal que tu m’as fait
Mais dans mes yeux tu pourras lire
Sur fond de détresse et de joie
Tu vois, je n’aurais pas cru ça de toi