Les paroles de la chanson
« Je n'ai rien appris »
Marie Laforêt
Quand je voyais les nuages
Dessiner des ombres aux feuillages
Je croyais que des coquillages
Se promenaient au ciel
Mais aujourd’hui je sais qu’ils n’ont
Que neige et pluie dans leur coton
Je les ai vus plus d’une fois
S’amonceler sur moi
J’ai vu le ciel des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout
J’ai voulu laisser mon cœur
Danser la danse du bonheur
J’ai cru que l’amour était né
Dans un conte de fées
Mais aujourd’hui je sais qu’il faut
Souvent quitter un lit trop chaud
En souriant pour bien cacher
Tout ce qu’on a donné
J’ai vu l’amour des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout
Découvrir chaque matin
Qu’on tient le monde au creux des mains
Plein d’orgueil et plein d’ambition
L’amitié pour chanson
Et puis des amis étrangers
Qui vous disent "Tu as changé"
Et la sagesse qu’on a gagnée
Et ce qui est perdu
J’ai vu la vie des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout
Dessiner des ombres aux feuillages
Je croyais que des coquillages
Se promenaient au ciel
Mais aujourd’hui je sais qu’ils n’ont
Que neige et pluie dans leur coton
Je les ai vus plus d’une fois
S’amonceler sur moi
J’ai vu le ciel des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout
J’ai voulu laisser mon cœur
Danser la danse du bonheur
J’ai cru que l’amour était né
Dans un conte de fées
Mais aujourd’hui je sais qu’il faut
Souvent quitter un lit trop chaud
En souriant pour bien cacher
Tout ce qu’on a donné
J’ai vu l’amour des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout
Découvrir chaque matin
Qu’on tient le monde au creux des mains
Plein d’orgueil et plein d’ambition
L’amitié pour chanson
Et puis des amis étrangers
Qui vous disent "Tu as changé"
Et la sagesse qu’on a gagnée
Et ce qui est perdu
J’ai vu la vie des deux côtés
Ses jours de gloire, de vérité
Et c’est bien triste de penser
Que je n’ai rien appris du tout