Les paroles de la chanson
« Je me dore »
Alain Bashung
Ecran total sur les pores de ma peau
Ecran total sur nos remords
Que dire sinon s’enduire
De tous les crimes
J’ai vu le ciel tourner au violet
Et les filles se faire aimer
La mort dans l’âme
C’est la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
A la tyrannie du jour
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes airs
A tous les luminaires
A l’endroit, à l’envers
A la chaleur humaine
Mes amours, je les ai sur le bout de la langue
Elles me reviennent à chaque frontière
Langues mortes, langues de vipère
Langues familières, la fermer, se taire
L’ouvrir, ça va sans dire
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
Désormais, je me dore
A l’endroit à l’envers
A la chaleur humaine
Un missile a élu domicile
A l’Hôtel de l’Oiseau-lyre
Que dire de ces ouï-dire
C’est la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
A la poussière des météores
A la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A la crypte des monastères
Je me dore à l’ordinaire
A tombeau ouvert
A la chaleur humaine
Ecran total sur nos remords
Que dire sinon s’enduire
De tous les crimes
J’ai vu le ciel tourner au violet
Et les filles se faire aimer
La mort dans l’âme
C’est la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
A la tyrannie du jour
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes airs
A tous les luminaires
A l’endroit, à l’envers
A la chaleur humaine
Mes amours, je les ai sur le bout de la langue
Elles me reviennent à chaque frontière
Langues mortes, langues de vipère
Langues familières, la fermer, se taire
L’ouvrir, ça va sans dire
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
Désormais, je me dore
A l’endroit à l’envers
A la chaleur humaine
Un missile a élu domicile
A l’Hôtel de l’Oiseau-lyre
Que dire de ces ouï-dire
C’est la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A tes rires
Je me dore à tes nerfs
A la poussière des météores
A la chaleur humaine
Désormais, je me dore
A la crypte des monastères
Je me dore à l’ordinaire
A tombeau ouvert
A la chaleur humaine