Les paroles de la chanson
« Je l'aime, je l'aime »
Tereza Kesovija
Je l’aime, je l’aime,
Il est sur les chemins.
Je l’aime, je l’aime,
Il reviendra demain.
Et même, et même
S’il ne me revient pas,
Je l’aime, je l’aime,
Et je l’attends déjà.
Aïe, s’il est plus heureux,
Le vent dans ses cheveux.
Aïe, autour de son cou,
Mes bras jaloux.
Je l’aime, je l’aime,
Tu le crois si tu veux,
J’ai même, j’ai même
Vu des tziganes heureux.
Je l’aime,je l’aime
sans savoir d’où il vient
et même s’il faut mourir demain
aïe, aïe, je guete les vents
car, aïe, il est leur enfant
aïe, aïe, je guete la nuit
pareil, à lui.
Je l’aime, je l’aime,
il vient quand il a froid
et même, et même,
il m’aimait quelquefois
Je l’aime, je l’aime,
Tu me crois si tu veux,
J’ai même, j’ai même,
vu des tziganes heureux.
Il est sur les chemins.
Je l’aime, je l’aime,
Il reviendra demain.
Et même, et même
S’il ne me revient pas,
Je l’aime, je l’aime,
Et je l’attends déjà.
Aïe, s’il est plus heureux,
Le vent dans ses cheveux.
Aïe, autour de son cou,
Mes bras jaloux.
Je l’aime, je l’aime,
Tu le crois si tu veux,
J’ai même, j’ai même
Vu des tziganes heureux.
Je l’aime,je l’aime
sans savoir d’où il vient
et même s’il faut mourir demain
aïe, aïe, je guete les vents
car, aïe, il est leur enfant
aïe, aïe, je guete la nuit
pareil, à lui.
Je l’aime, je l’aime,
il vient quand il a froid
et même, et même,
il m’aimait quelquefois
Je l’aime, je l’aime,
Tu me crois si tu veux,
J’ai même, j’ai même,
vu des tziganes heureux.