Les paroles de la chanson
« Je l'aime en mourir »
Marc Antoine
Moi je n’étais rien, et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits,
Je l’aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira,
Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire.
Je l’aime en mourir
Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier,
Elle a fait de ma vie des cocottes en papier,
Des éclats de rires.
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel,
Et nous les traversons a chaque fois qu’elle
Ne veut pas dormir, ne veut pas dormir
Oh oui
Je l’aime en mourir
Elle a dû faire toutes les guerres Huh
Pour être si forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la vie, et l’amour aussi.
Elle vit de son mieux son rêve d’opaline et
Elle danse au milieu des forêts qu’elle dessine,
Je l’aime à mourir.
Elle porte des rubans qu’elle laisse s’envoler,
Elle me chante souvent que j’ai tort d’essayer
De les retenir, de les retenir, oh oui
Je l’aime à mourir.
Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits,
Je dois clouer des notes à mes sabots de bois,
Je l’aime à mourir.
Je dois juste m’asseoir, je ne dois pas parler,
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
De lui appartenir, de lui appartenir, oh oui
Je l’aime à mourir.
Elle a dû faire toutes les guerres Huh
Pour être si forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la vie, et l’amour aussi.
Moi je n’étais rien, et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits,
Je l’aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira,
Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire.
Je l’aime à mourir.
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits,
Je l’aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira,
Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire.
Je l’aime en mourir
Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier,
Elle a fait de ma vie des cocottes en papier,
Des éclats de rires.
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel,
Et nous les traversons a chaque fois qu’elle
Ne veut pas dormir, ne veut pas dormir
Oh oui
Je l’aime en mourir
Elle a dû faire toutes les guerres Huh
Pour être si forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la vie, et l’amour aussi.
Elle vit de son mieux son rêve d’opaline et
Elle danse au milieu des forêts qu’elle dessine,
Je l’aime à mourir.
Elle porte des rubans qu’elle laisse s’envoler,
Elle me chante souvent que j’ai tort d’essayer
De les retenir, de les retenir, oh oui
Je l’aime à mourir.
Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits,
Je dois clouer des notes à mes sabots de bois,
Je l’aime à mourir.
Je dois juste m’asseoir, je ne dois pas parler,
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
De lui appartenir, de lui appartenir, oh oui
Je l’aime à mourir.
Elle a dû faire toutes les guerres Huh
Pour être si forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la vie, et l’amour aussi.
Moi je n’étais rien, et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits,
Je l’aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira,
Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire.
Je l’aime à mourir.