Les paroles de la chanson
« Je cours »
Bernard Lavilliers
Résonner mes pieds sur l’asphalte
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l’intérêt des familles, je cours
Je déroule le tissu urbain entre Italie et Pantin, je cours
Et puis la montée d’endorphine
C’est meilleur que la cocaïne, je cours
Je cavale dans le monde entier
Et personne ne me court après
Jamais... Je cours
Maintenant plus rien ne m’arrête
Je suis un nuage une flèche, je cours
Il y dans le creux de mes reins
La locomotive des reins, je cours
Mes poumons ont de l’amplitude
Je vais prendre de l’altitude je cours
Comme un forcené un dément
Contre la montre à contre temps, je cours
Mes tendons me tapent sur les nerfs
Mes chaussures ont des coussins d’air, je cours
Je cours plus vite qu’une balle
plus vite qu’une attaque cérébrale, je cours, je cours
Sur les toits de ce vieux Parnasse
Sur les traces de Fantômas, je cours
Surtout lorsque le jour se lève
Sur les chômeurs et sur la grève, je cours
Au-delà du bien et du mal
Je peux vous dire que ça fait mal, je cours
Résonner mes pieds sur l’asphalte
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l’intérêt des familles, je cours, je cours
Je cours toujours plus vite, je cours
Toujours
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l’intérêt des familles, je cours
Je déroule le tissu urbain entre Italie et Pantin, je cours
Et puis la montée d’endorphine
C’est meilleur que la cocaïne, je cours
Je cavale dans le monde entier
Et personne ne me court après
Jamais... Je cours
Maintenant plus rien ne m’arrête
Je suis un nuage une flèche, je cours
Il y dans le creux de mes reins
La locomotive des reins, je cours
Mes poumons ont de l’amplitude
Je vais prendre de l’altitude je cours
Comme un forcené un dément
Contre la montre à contre temps, je cours
Mes tendons me tapent sur les nerfs
Mes chaussures ont des coussins d’air, je cours
Je cours plus vite qu’une balle
plus vite qu’une attaque cérébrale, je cours, je cours
Sur les toits de ce vieux Parnasse
Sur les traces de Fantômas, je cours
Surtout lorsque le jour se lève
Sur les chômeurs et sur la grève, je cours
Au-delà du bien et du mal
Je peux vous dire que ça fait mal, je cours
Résonner mes pieds sur l’asphalte
Souffle tapant dans mes tympans, je cours
Allongée la foulée de rêve
Je suis plus dans le marche ou crève, je cours
Entre les blocs entre les grilles
Et dans l’intérêt des familles, je cours, je cours
Je cours toujours plus vite, je cours
Toujours