Les paroles de la chanson
« Je combats avec mes démons »
Akhenaton
Le dénommé Satan veut que l’on tombe dans le panneau
Mais je combats le démon comme le Seigneur des Anneaux
Enfant déjà mon esprit était en scission
Un jour, il s’est dressé pour lutter contre mes visions
Un soir, je rentrais de l’école, il y eut un déclic
Au fond de ma personne s’éveilla un être mystique
Je faisais des paris stupides avec moi-même
Qu’importait le thème, il fallait que je mène
A bien la mission, déchiré tel un tissu
Comme si mon existence dépendait de son issue
Si tu regardes à gauche, tu vivras heureux
Si tu penches à droite, tu mourras jeune et miséreux
Et je rentrais à la maison, le chemin était le test
20 minutes durant le visage tourné vers l’est
Et quand je me couchais après le bonsoir de ma mère
J’essayais de voyager jusqu’au fond de l’univers
Je lais ai vu de mes yeux, les planètes, les galaxies
Sans jamais joindre la limite, je m’assoupissais puis
Je me dis aujourd’hui que c’est bizarre
Qu’à cinq and et demi on réalise que l’univers est infini
Tous les matins le réveil était le même
Brutal, je rêvais de voler au-dessus des plaines
Et dans les airs à mon plus haut point mes ailes se coupaient
Sur une table mon corps s’écrasait
Le mythe d’Icare n’est pas loin, signe divin
Je n’en sais rien mais Il est maître du destin
Moi, seul sur mon rocher je transpire
Dans ma lutte sans merci pour mieux lui obéir
Je combats avec mes démons
Tout mon enfance, ils ont essayé de m’enlever
De m’attirer, sans succès, j’ai résisté
Athée, j’ai mué, pour devenir un être ultra-mystique
Un métèque de confession islamique
Et par la voie du seigneur je peux atteindre des limites
Que jamais je n’aurais esperé joindre si vite
L’abstraction, de la solidité des barrières
Transformer une pièce aux dimensions d’un univers
C’est pourquoi je fus capable de m’enfermer dans ma chambre
Des heures et d’en faire le royaume des Ombres
Laconique car l’excès mène au scandale
Un spartiate traversant le désert du silence en sandales
Je suis allé en enfer
Pour collusion avec Eblis, complicité dans ses affaires
Le reproche est grave, sans me faire prier
J’ai donné mon amitié à des esprits meurtriers
J’en suis revenu en ayant appris deux choses:
L’enfer est sur terre, le blanc, le noir ne sont pas roses!
Dans ces cas, la part de raison est infime ainsi
J’ai très bien compris tous les mécanismes du crime
J’ai été puni en tant que fidèle décadent
Pour avoir trahi la 27ème nuit du Ramadan
Mais j’ai une arme contre ça
La capacité que j’avais de réciter des fables à 18 mois
Dieu et moi avons fait un pacte
Et chaque fois que le don qu’il m’a fait est sali par mes actes
Il m’envoie brûler en enfer pour les jours où j’ai trahi
Que ceci soit pour la vie écrit et accompli
Je combats avec mes démons
Mais je combats le démon comme le Seigneur des Anneaux
Enfant déjà mon esprit était en scission
Un jour, il s’est dressé pour lutter contre mes visions
Un soir, je rentrais de l’école, il y eut un déclic
Au fond de ma personne s’éveilla un être mystique
Je faisais des paris stupides avec moi-même
Qu’importait le thème, il fallait que je mène
A bien la mission, déchiré tel un tissu
Comme si mon existence dépendait de son issue
Si tu regardes à gauche, tu vivras heureux
Si tu penches à droite, tu mourras jeune et miséreux
Et je rentrais à la maison, le chemin était le test
20 minutes durant le visage tourné vers l’est
Et quand je me couchais après le bonsoir de ma mère
J’essayais de voyager jusqu’au fond de l’univers
Je lais ai vu de mes yeux, les planètes, les galaxies
Sans jamais joindre la limite, je m’assoupissais puis
Je me dis aujourd’hui que c’est bizarre
Qu’à cinq and et demi on réalise que l’univers est infini
Tous les matins le réveil était le même
Brutal, je rêvais de voler au-dessus des plaines
Et dans les airs à mon plus haut point mes ailes se coupaient
Sur une table mon corps s’écrasait
Le mythe d’Icare n’est pas loin, signe divin
Je n’en sais rien mais Il est maître du destin
Moi, seul sur mon rocher je transpire
Dans ma lutte sans merci pour mieux lui obéir
Je combats avec mes démons
Tout mon enfance, ils ont essayé de m’enlever
De m’attirer, sans succès, j’ai résisté
Athée, j’ai mué, pour devenir un être ultra-mystique
Un métèque de confession islamique
Et par la voie du seigneur je peux atteindre des limites
Que jamais je n’aurais esperé joindre si vite
L’abstraction, de la solidité des barrières
Transformer une pièce aux dimensions d’un univers
C’est pourquoi je fus capable de m’enfermer dans ma chambre
Des heures et d’en faire le royaume des Ombres
Laconique car l’excès mène au scandale
Un spartiate traversant le désert du silence en sandales
Je suis allé en enfer
Pour collusion avec Eblis, complicité dans ses affaires
Le reproche est grave, sans me faire prier
J’ai donné mon amitié à des esprits meurtriers
J’en suis revenu en ayant appris deux choses:
L’enfer est sur terre, le blanc, le noir ne sont pas roses!
Dans ces cas, la part de raison est infime ainsi
J’ai très bien compris tous les mécanismes du crime
J’ai été puni en tant que fidèle décadent
Pour avoir trahi la 27ème nuit du Ramadan
Mais j’ai une arme contre ça
La capacité que j’avais de réciter des fables à 18 mois
Dieu et moi avons fait un pacte
Et chaque fois que le don qu’il m’a fait est sali par mes actes
Il m’envoie brûler en enfer pour les jours où j’ai trahi
Que ceci soit pour la vie écrit et accompli
Je combats avec mes démons