Les paroles de la chanson
« Je chante comme un coyote »
Offenbach
Je chante comme un coyote
Debout entre deux dunes
Dans le désert des villes
Devant une sorte de lune
Qui me fascine
Autant qu’elle me répugne
Un disque en or à cinquante mille
Qu’on va m’donner
Si j’chante moins fort
Et si j’me tiens tranquille
Mais j’ai pas l’goût d’me laisser faire
De joindre les rangs nombreux de ceux
Pour qui chanter veut dire se taire
Je commence enfin à comprendre
C’qu’on voulait dire par "le silence est d’or"
Les limousines et les disques platines
Pour les avoir faut faire le mort
Moé j’veux hurler, me faire entendre ben haut
Jamais r’descendre pour faire le beau
Je commence enfin à comprendre
C’qu’on voulait dire par "le silence est d’or"
Les limousines et les disques platines
Pour les avoir faut faire le mort
Moé j’veux hurler, me faire entendre ben haut
Jamais r’descendre pour faire le beau
Je chante comme un coyote
Debout entre deux dunes
Dans le désert des villes
Devant une sorte de lune
Qui me fascine
Autant qu’elle me répugne
Un disque en or à cinquante mille
Qu’on va m’donner
Si j’chante moins fort
Et si j’me tiens tranquille
Mais j’ai pas l’goût d’me laisser faire
De joindre les rangs nombreux de ceux
Pour qui chanter veut dire se taire
Debout entre deux dunes
Dans le désert des villes
Devant une sorte de lune
Qui me fascine
Autant qu’elle me répugne
Un disque en or à cinquante mille
Qu’on va m’donner
Si j’chante moins fort
Et si j’me tiens tranquille
Mais j’ai pas l’goût d’me laisser faire
De joindre les rangs nombreux de ceux
Pour qui chanter veut dire se taire
Je commence enfin à comprendre
C’qu’on voulait dire par "le silence est d’or"
Les limousines et les disques platines
Pour les avoir faut faire le mort
Moé j’veux hurler, me faire entendre ben haut
Jamais r’descendre pour faire le beau
Je commence enfin à comprendre
C’qu’on voulait dire par "le silence est d’or"
Les limousines et les disques platines
Pour les avoir faut faire le mort
Moé j’veux hurler, me faire entendre ben haut
Jamais r’descendre pour faire le beau
Je chante comme un coyote
Debout entre deux dunes
Dans le désert des villes
Devant une sorte de lune
Qui me fascine
Autant qu’elle me répugne
Un disque en or à cinquante mille
Qu’on va m’donner
Si j’chante moins fort
Et si j’me tiens tranquille
Mais j’ai pas l’goût d’me laisser faire
De joindre les rangs nombreux de ceux
Pour qui chanter veut dire se taire