Les paroles de la chanson
« J'te calcul pas »
L'AB2C
Je n’suis pas là pour m’attarder sur toutes les mauvaise réflexions, déception dans la réception repasse le son et check le fond, le temps c’est de l’argent, je ne peux pas le perdre et le gaspiller, je n’suis pas une pute maquillée par une voix trafiquée, tu ne m’fais pas flipper, je kiffe les bastons lyrical, viens là car tu t’étrangles avec ton cordon ombilical, t’es dans la cour des grands, j’te filerais pas tout mes plans ça y est je pars à l’attaque, et j’attrape le beat aiguisé et coupe les langues.
Ouais tu m’as saoulé pourtant j’ai vu que t’avais pas d’alcool, t’as pas de nana tu te touches devant les catalogues, d’abord tu sors ta teub et puis tu sais plus où tu la frottes, putain faut pas baiser sans capote à la rue d’Aerschot, je sais que t’avoueras que je tape la basse au bazooka, frappe la rage et pas de coup bas pourtant je rap en Kamasutra, si tu m’as clashé tu me fais de la pub et c’est pas plus mal, là je t’accorde quelques rimes mais j’te calcule pas #zzzbraaah#.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.
Une jalousie comme Tina et Ike, t’es tellement con que je m’demande comment t’attaches tes Nike et Mc Pompe va nous serrer les pompes, y a ceux qui pompent et ceux qui tiennent un fusil à pompe, coup de taureau j’suis balèze, génération Goldorack, mes pectoraux sont à l’aise, large comme un anorak, torse nu en hiver, nan j’plaisante frère, y a du bon rap, puis y a ce qu’on nous présente, des intox et infos, ragots et pipeau vérité, je préfère être une poubelle qu’être people, pur belge, latino, Afrique du nord et Afrique noire, je vois la vie en couleur sous mes lunettes noir, mais quand les rumeurs résonnent, le pote de tout le monde est le pote de personne, Facebook etcétéra, Twitter dès qu’on sort, y a des douleur que aucun sites sociales ne consolent.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.
Test pas, reste sage ou je t’éclate en quelques phases, fière de moi, je lève le doigt, tu verras que le geste parle, si tu mattes le CV, là j’ai passé l’essai mais j’ai laissé des blés, tu peux taper des pieds, j’ai la cape et l’épée, j’ai le crack et la C, quand le rap est lâché je sais frapper l’acier, je te traque et te traîne, j’ai détraqué la scène, j’ai craché ma peine, quand je marche toi tu traînes si je te donne la fin de mon assiette là tu lèches les bords, et c’est signé l’AB7 avec 13Hor.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.
Ouais tu m’as saoulé pourtant j’ai vu que t’avais pas d’alcool, t’as pas de nana tu te touches devant les catalogues, d’abord tu sors ta teub et puis tu sais plus où tu la frottes, putain faut pas baiser sans capote à la rue d’Aerschot, je sais que t’avoueras que je tape la basse au bazooka, frappe la rage et pas de coup bas pourtant je rap en Kamasutra, si tu m’as clashé tu me fais de la pub et c’est pas plus mal, là je t’accorde quelques rimes mais j’te calcule pas #zzzbraaah#.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.
Une jalousie comme Tina et Ike, t’es tellement con que je m’demande comment t’attaches tes Nike et Mc Pompe va nous serrer les pompes, y a ceux qui pompent et ceux qui tiennent un fusil à pompe, coup de taureau j’suis balèze, génération Goldorack, mes pectoraux sont à l’aise, large comme un anorak, torse nu en hiver, nan j’plaisante frère, y a du bon rap, puis y a ce qu’on nous présente, des intox et infos, ragots et pipeau vérité, je préfère être une poubelle qu’être people, pur belge, latino, Afrique du nord et Afrique noire, je vois la vie en couleur sous mes lunettes noir, mais quand les rumeurs résonnent, le pote de tout le monde est le pote de personne, Facebook etcétéra, Twitter dès qu’on sort, y a des douleur que aucun sites sociales ne consolent.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.
Test pas, reste sage ou je t’éclate en quelques phases, fière de moi, je lève le doigt, tu verras que le geste parle, si tu mattes le CV, là j’ai passé l’essai mais j’ai laissé des blés, tu peux taper des pieds, j’ai la cape et l’épée, j’ai le crack et la C, quand le rap est lâché je sais frapper l’acier, je te traque et te traîne, j’ai détraqué la scène, j’ai craché ma peine, quand je marche toi tu traînes si je te donne la fin de mon assiette là tu lèches les bords, et c’est signé l’AB7 avec 13Hor.
À chaque battement c’est mon temps qui se barre chaque secondes, chaque minutes et chaque heures. J’dois survivre comme un chacal, le temps c’est d’l’argent, j’suis un pauvre chaque année, on n’a pas l’temps de polémiquer, le but est simple, absolument tout niquer, parle enfoiré, parle, parle, viens que j’explique qu’il faut rap fort rien à foutre du fric.