Les paroles de la chanson
« J't'aimais tellement fort que j't'aime encore »
Michel Jonasz
Tu peux toujours croire que les p’tites cases de la memoire
Peuvent s’ouvrir comme des tiroirs et laisser partir les souv’nirs.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
Le bruit des fanfares, les trains qui entrent dans les gares,
Le tam tam des pays noirs pourront pas couvrir c’que j’vais dire.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
Mes larmes, c’est rien. Si t’as du bonheur, tiens-le bien.
Ces trucs la, ça va, ça vient, mais ça s’éteint pas sous les doigts
Et ça brûle comme du bois mort. On s’ra toujours corps à corps.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
Peuvent s’ouvrir comme des tiroirs et laisser partir les souv’nirs.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
Le bruit des fanfares, les trains qui entrent dans les gares,
Le tam tam des pays noirs pourront pas couvrir c’que j’vais dire.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
Mes larmes, c’est rien. Si t’as du bonheur, tiens-le bien.
Ces trucs la, ça va, ça vient, mais ça s’éteint pas sous les doigts
Et ça brûle comme du bois mort. On s’ra toujours corps à corps.
Tu sais, j’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.
J’t’aimais tellement fort que j’t’aime encore.