Les paroles de la chanson
« J'oublierais mon nom »
Alexi Kantrall
Il y a une fuite dans mon scaphandre et l’air viendra à manquer
les secondes qui me restent sont une expression consacrée
je revois les lèvres charnues d’une femme qui dégouline d’un rouge iridescent.
est-ce le mal des profondeurs les sirènes des océans
ma voix dans une bouteille que je remplirais d’alcool
un cocktail molotov dans la cour primaire d’une école
quand le monde se roulera dans sa fange en se gaussant haut et fort
j’oublierais mon nom pour la cause je ferais face à la mort
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.
Le tribunal est masqué et tient les cordons de la bourse
toute les rivières mènent à la mer mais la richesse est dans la source
une peu de strychnine dilué comme du sirop de menthe
sur les berges de la voix lactée dis moi ce qu’un condamné ressent
le programme n’est pas virtuel mais dans les livres d’histoires
qui ne retiennent pas les héros mais comptabilise les victoires
j’ai abandonné mon enfance au carrefour des injustices
elle rêvait de bons points mais n’a eu que des cicatrices
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.
C’est dans les abysses qu’on trouve les plateaux d’or
les flots qui se referment dissimulent souvent des trésors
les visages portent tous le masque de la résignation
alors pour la cause j’oublierais mon nom
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.
les secondes qui me restent sont une expression consacrée
je revois les lèvres charnues d’une femme qui dégouline d’un rouge iridescent.
est-ce le mal des profondeurs les sirènes des océans
ma voix dans une bouteille que je remplirais d’alcool
un cocktail molotov dans la cour primaire d’une école
quand le monde se roulera dans sa fange en se gaussant haut et fort
j’oublierais mon nom pour la cause je ferais face à la mort
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.
Le tribunal est masqué et tient les cordons de la bourse
toute les rivières mènent à la mer mais la richesse est dans la source
une peu de strychnine dilué comme du sirop de menthe
sur les berges de la voix lactée dis moi ce qu’un condamné ressent
le programme n’est pas virtuel mais dans les livres d’histoires
qui ne retiennent pas les héros mais comptabilise les victoires
j’ai abandonné mon enfance au carrefour des injustices
elle rêvait de bons points mais n’a eu que des cicatrices
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.
C’est dans les abysses qu’on trouve les plateaux d’or
les flots qui se referment dissimulent souvent des trésors
les visages portent tous le masque de la résignation
alors pour la cause j’oublierais mon nom
J’oublierais mon nom, mon propre homicide
la transmutation, de la pierre en acide,
les rêves se cassent, la peau se fane,
les rides se creusent et sur le sol brule la glace
mais j’oublierais mon nom, mon infanticide.