Les paroles de la chanson
« J'avance »
Grégoire
Dis à quoi ça sert de marcher sur cette terre,
sans jamais te parler sans jamais t’approcher.
Et le temps, qui passe, ne change rien à rien.
Oui ce temps, qui passe est si vain.
Dis à quoi ça sert d’errer au fond de l’air,
sans jamais te tenir sans jamais te sentir.
Et les gens, qui passent, marchent main dans la main.
Et ces gens, qui passent s’en foutent bien.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance, et j’avance.
Dis à quoi ça sert de passer les hivers,
sans dévorer des yeux sans te serrer un peu.
Quand le froid tenace,
me poigne, me frappe et m’étale.
Oui ton froid me passe à la trappe.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance.
Vers tout ces inconnus qui sont d’autant de présence.
Et je continue, et j’avance, j’avance.
Dis à quoi ça sert de jeter des prières,
si personne écoute, si toujours tout me coûte.
Et ma voix se casse,
à trop savoir se taire et ma voix se casse,
mais espère.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance.
Vers tout ces inconnus qui sont d’autant de présence.
Et je continue, et j’avance, j’avance.
Dis à quoi ça sert de marcher sur cette terre,
sans jamais te parler sans jamais t’approcher.
sans jamais te parler sans jamais t’approcher.
Et le temps, qui passe, ne change rien à rien.
Oui ce temps, qui passe est si vain.
Dis à quoi ça sert d’errer au fond de l’air,
sans jamais te tenir sans jamais te sentir.
Et les gens, qui passent, marchent main dans la main.
Et ces gens, qui passent s’en foutent bien.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance, et j’avance.
Dis à quoi ça sert de passer les hivers,
sans dévorer des yeux sans te serrer un peu.
Quand le froid tenace,
me poigne, me frappe et m’étale.
Oui ton froid me passe à la trappe.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance.
Vers tout ces inconnus qui sont d’autant de présence.
Et je continue, et j’avance, j’avance.
Dis à quoi ça sert de jeter des prières,
si personne écoute, si toujours tout me coûte.
Et ma voix se casse,
à trop savoir se taire et ma voix se casse,
mais espère.
Mais je continue, et j’avance.
Mais par delà les rues c’est un espoir que je lance
Et je continue, et j’avance.
Ici rien est perdu, mais rien est gagné d’avance.
Et je continue, et j’avance.
Vers tout ces inconnus qui sont d’autant de présence.
Et je continue, et j’avance, j’avance.
Dis à quoi ça sert de marcher sur cette terre,
sans jamais te parler sans jamais t’approcher.