Les paroles de la chanson
« J'avais un ami »
Jeanne Moreau
{Refrain:}
J’avais un ami qui me disait toujours
"Il faut faire le p’tit bouchon au gré de l’eau"
Chacun fait sa vie comme il peut et la vie
Fait de vous ce qu’elle veut, ce qu’elle veut, ce qu’elle veut
À quoi bon se casser, se pousser, à quoi bon?
Les soucis, ça vieillit les éléphants
Il vaut mieux être deux dans un lit trop étroit
Que tout seul dans un lit à colonnes, ou bien trois
Des dessous noirs en dentelle, c’est troublant
Mais encore faut-il quelqu’un dedans
Des cheveux blancs qui folâtrent, c’est charmant
Mais ça ne refait pas un printemps
{au Refrain}
Je préfère être un p’tit poisson dans mon ruisseau
Qu’un très gros cachalot hors de l’eau
J’aime mieux être au chaud dans ma p’tite peau à moi
Que couchée sous la terre et qu’on parle de moi
Une jarretelle rose, j’ trouve ça plus émouvant
Qu’un ruban rouge sur canapé
Un pantalon tout doré de parements
Cache toujours un homme en caleçon
J’avais un ami qui me disait toujours
"Toi et moi, soyons comme deux petits bouchons"
Laissons-nous glisser, laissons faire le courant
Soyons deux petits bouchons qui vont, qui vont, au fil de l’eau
J’avais un ami qui me disait toujours
"Il faut faire le p’tit bouchon au gré de l’eau"
Chacun fait sa vie comme il peut et la vie
Fait de vous ce qu’elle veut, ce qu’elle veut, ce qu’elle veut
À quoi bon se casser, se pousser, à quoi bon?
Les soucis, ça vieillit les éléphants
Il vaut mieux être deux dans un lit trop étroit
Que tout seul dans un lit à colonnes, ou bien trois
Des dessous noirs en dentelle, c’est troublant
Mais encore faut-il quelqu’un dedans
Des cheveux blancs qui folâtrent, c’est charmant
Mais ça ne refait pas un printemps
{au Refrain}
Je préfère être un p’tit poisson dans mon ruisseau
Qu’un très gros cachalot hors de l’eau
J’aime mieux être au chaud dans ma p’tite peau à moi
Que couchée sous la terre et qu’on parle de moi
Une jarretelle rose, j’ trouve ça plus émouvant
Qu’un ruban rouge sur canapé
Un pantalon tout doré de parements
Cache toujours un homme en caleçon
J’avais un ami qui me disait toujours
"Toi et moi, soyons comme deux petits bouchons"
Laissons-nous glisser, laissons faire le courant
Soyons deux petits bouchons qui vont, qui vont, au fil de l’eau