Les paroles de la chanson
« J'aime le vent »
Stéphane Cadé
J’aime le vent
Quand il décorne les boeufs
Botte le cul du mauvais temps
Et repeint le ciel en bleu
J’aime le vent
Qui fait tourner les pancartes
Qui met Paris dans l’Morvan
Et Saint-Tropez dans la Sarthe
J’aime le vent
Quand il trousse les jupons
Ebouriffe les passants
Et détache les chignons
J’aime le vent
Qui déchire les drapeaux
Qui enrhume les agents
Et gifle les généraux
V’là l’bon vent le joli vent
Cramponne-toi à tes semelles
Et il t’enverra sûrement
Rejoindre les hirondelles
J’aime le vent
Qui siffle un air en sourdine
Et joue de la flûte de Pan
Aux cheminées des usines
J’aime le vent
Quand il plume les alouettes
Fout l’vertige aux cerfs-volants
Et le tournis aux girouettes
J’aime le vent
Qui trimballe dans sa valise
Le coup d’envoi du printemps
Des giboulées de cerises
J’aime le vent
Qui fait chavirer la mer
Vient hurler dans les gréements
Et fait des vagues dans le désert
V’là l’bon vent le joli vent
Hourrah les montgolfières
Aérophages ou Don Juan
Gloire aux plus légers que l’air
J’aime le vent
Qui efface les empreintes
Rafraîchit le front brûlant
Et vous grise comme une absinthe
J’aime le vent
Qui partage ma cigarette
Me fait faire des pas d’géant
Et cracher à cinquante mètres
V’là l’bon vent le joli vent
J’voudrais bien partir avec lui
Visiter l’monde en voltigeant
Accroché à mon parapluie
J’aime le vent
Quand il décorne les boeufs
Botte le cul du mauvais temps
Et repeint le ciel en mieux
Quand il décorne les boeufs
Botte le cul du mauvais temps
Et repeint le ciel en bleu
J’aime le vent
Qui fait tourner les pancartes
Qui met Paris dans l’Morvan
Et Saint-Tropez dans la Sarthe
J’aime le vent
Quand il trousse les jupons
Ebouriffe les passants
Et détache les chignons
J’aime le vent
Qui déchire les drapeaux
Qui enrhume les agents
Et gifle les généraux
V’là l’bon vent le joli vent
Cramponne-toi à tes semelles
Et il t’enverra sûrement
Rejoindre les hirondelles
J’aime le vent
Qui siffle un air en sourdine
Et joue de la flûte de Pan
Aux cheminées des usines
J’aime le vent
Quand il plume les alouettes
Fout l’vertige aux cerfs-volants
Et le tournis aux girouettes
J’aime le vent
Qui trimballe dans sa valise
Le coup d’envoi du printemps
Des giboulées de cerises
J’aime le vent
Qui fait chavirer la mer
Vient hurler dans les gréements
Et fait des vagues dans le désert
V’là l’bon vent le joli vent
Hourrah les montgolfières
Aérophages ou Don Juan
Gloire aux plus légers que l’air
J’aime le vent
Qui efface les empreintes
Rafraîchit le front brûlant
Et vous grise comme une absinthe
J’aime le vent
Qui partage ma cigarette
Me fait faire des pas d’géant
Et cracher à cinquante mètres
V’là l’bon vent le joli vent
J’voudrais bien partir avec lui
Visiter l’monde en voltigeant
Accroché à mon parapluie
J’aime le vent
Quand il décorne les boeufs
Botte le cul du mauvais temps
Et repeint le ciel en mieux