Les paroles de la chanson
« J'aim faim »
Jeanne Cherhal
J’ai faim quand je te regardes
Je pourrai dévorer ton visage
Ta nuque et ton cou
Comme un amoureux jaloux
Attends-tu ça de moi
J’ai faim quand je te regarde
Si tu pouvais m’offrir ton âge
Mon coeur éclate
Un jardin de nuit d’été
Moi j’attends ça de toi
J’ai faim je voudrais courir
Sur le bitume accroché de clous
La falaise de sel au mois d’août
Le parvis des églises et des temples
J’ai faim je voudrais mourir
Dans un éclat de rire à minuit
Dans un fracas de verre à midi
Ma caresse arrêtée sur ta tempe
J’ai faim dans mon vieux pays
Si je pouvais trouver le courage
de nager jusqu’au sexe de la terre
J’ai faim le jour et la nuit
Je ne veux plus dormir d’avantage
Parle-moi des semaines des heures entières
J’ai faim je voudrais courir
Sur le bitume accroché de clous
La falaise de sel au mois d’août
Le parvis des églises et des temples
J’ai faim je voudrais mourir
Dans un éclat de rire à minuit
Dans un fracas de verre à midi
Ma caresse arrêtée sur ta tempe
J’ai faim de lait de riz blanc
De verbe féminin de musique
Dedans, sur mon cou
J’ai faim d’un amour fou
Tu sais j’ai faim souvent
J’ai faim de mots étouffants
De perles d’eau de forêts antiques
De cris de naissance
Et de bruit dans le silence
Tu sais j’ai faim de tout
Je pourrai dévorer ton visage
Ta nuque et ton cou
Comme un amoureux jaloux
Attends-tu ça de moi
J’ai faim quand je te regarde
Si tu pouvais m’offrir ton âge
Mon coeur éclate
Un jardin de nuit d’été
Moi j’attends ça de toi
J’ai faim je voudrais courir
Sur le bitume accroché de clous
La falaise de sel au mois d’août
Le parvis des églises et des temples
J’ai faim je voudrais mourir
Dans un éclat de rire à minuit
Dans un fracas de verre à midi
Ma caresse arrêtée sur ta tempe
J’ai faim dans mon vieux pays
Si je pouvais trouver le courage
de nager jusqu’au sexe de la terre
J’ai faim le jour et la nuit
Je ne veux plus dormir d’avantage
Parle-moi des semaines des heures entières
J’ai faim je voudrais courir
Sur le bitume accroché de clous
La falaise de sel au mois d’août
Le parvis des églises et des temples
J’ai faim je voudrais mourir
Dans un éclat de rire à minuit
Dans un fracas de verre à midi
Ma caresse arrêtée sur ta tempe
J’ai faim de lait de riz blanc
De verbe féminin de musique
Dedans, sur mon cou
J’ai faim d’un amour fou
Tu sais j’ai faim souvent
J’ai faim de mots étouffants
De perles d’eau de forêts antiques
De cris de naissance
Et de bruit dans le silence
Tu sais j’ai faim de tout