Les paroles de la chanson
« J'ai vue »
Falcko
J’ai vu des victimes se faire dépouiller,
Répondre ccord-d’a.
Oui j’ai vu des frères s’braqué pour un golf 4.
Dont près a se déchiré pour des sommes,
Le 16 juin 2006,
J’ai vu le mal en personne.
J’ai vu des raclos prêt à tout pour des tass,
Des raclis prêt a dead pour des chiens de la casse.
J’ai vu des frelons charbonné dans l’ombre,
Avec l’argent de la cam,
Assumer une famille nombreuse.
J’ai vu que Dieu pouvait pardonner,
Avec du silicone,
Des femmes reniant le corps qu’il aura donné.
L’ennemi me raté à plusieurs occasions,
Oui, j’ai vu des leur-de dans des gamos de location.
Le riche téma le pauvre et jugé sa vie,
Des jenkis pour une lette-gua prêt a t’sucer la bite.
J’ai vu des voyous devenirs gays,
Oui, j’ai vu votre France faire match nul face à l’Uruguay.
J’ai vu des tronlis dans des RS4,
Un coup de feu partir pour un GLK.
Un dépressif changer son lacet en garo,
Des balles perdues, pas celle de Roland Garos.
J’ai vu des tours,
Des frères avoir alzheimer,
Oublier tout se que tu à fait pour.
J’ai vu la gloire te la mettre,
Te faire oublier,
Qu’on partira tous dans le plus simple appareil.
Les geois-bour jeté l’argent par les f’nêtres,
Des poubelles dans la rue, un père de famille, les flaire.
Les p’tites bouffonnes s’passionné pour gossip.
J’ai vu des boloss dans ma rue joué les grossistes.
J’ai vu des guerres, des familles dessimé,
Des rappeurs faire les personnages de bandes dessinés.
J’ai vu que si tu fais le fou,
Une balle te gifle.
Oui j’ai vu mon pote : Badiaga finir à Ry-Fleu.
J’ai vu que demain sera pire qu’hier.
J’ai vu des frères passé de la bicrav à la prière.
Ou des p’tits de 13 piges sur l’rin-té,
Oui j’ai vu la rue vide mes les Facebook blindé.
J’ai vu des darons bien finir au bistro,
Mes mecs de tess postulez dans la lice-po.
Ce ghettoyouth mettre le fond et la forme,
Pataté sa racli parce que cette pute faisais la folle.
Je me suis pas vu me levé à 12 heures,
Mais parlé mal à ma mère comme si j’m’étais fais tout seul.
J’ai vu que la mort effraie,
Que battre ne retraite qu’en on gagne ce n’est pas une défaite.
J’ai vu l’Espagne dev’nir championne d’Europe,
Ou j’ai vu le meusseu te faire péter les neurones.
L’argent sale te vise comme interprète,
J’ai vu la jalousie passé sa vie sur internet.
Des jenkis basculé dans la pim,
Un Un riche garé son merco devants un sans-abri.
J’au vu des schlasses dans des corps-à-corps,
Des frères sous intraveineuse de poliakov.
J’ai vu des mif’ qui s’déchire qui regrette,
Des fils s’envoyer leurs daronnes dans des maisons de retraites.
J’ai vu les êtres humains péché,
Des athées d’être la bonne parole au lieu de prêcher.
Un putain de youvoi rentré dans les rangs,
L’hypocrisie tire pour votre fils, toutes nos condoléances.
On est des yens survivant parmi les chiens,
Pour finir,
On n’est jamais mieux trahis que par les siens.
Répondre ccord-d’a.
Oui j’ai vu des frères s’braqué pour un golf 4.
Dont près a se déchiré pour des sommes,
Le 16 juin 2006,
J’ai vu le mal en personne.
J’ai vu des raclos prêt à tout pour des tass,
Des raclis prêt a dead pour des chiens de la casse.
J’ai vu des frelons charbonné dans l’ombre,
Avec l’argent de la cam,
Assumer une famille nombreuse.
J’ai vu que Dieu pouvait pardonner,
Avec du silicone,
Des femmes reniant le corps qu’il aura donné.
L’ennemi me raté à plusieurs occasions,
Oui, j’ai vu des leur-de dans des gamos de location.
Le riche téma le pauvre et jugé sa vie,
Des jenkis pour une lette-gua prêt a t’sucer la bite.
J’ai vu des voyous devenirs gays,
Oui, j’ai vu votre France faire match nul face à l’Uruguay.
J’ai vu des tronlis dans des RS4,
Un coup de feu partir pour un GLK.
Un dépressif changer son lacet en garo,
Des balles perdues, pas celle de Roland Garos.
J’ai vu des tours,
Des frères avoir alzheimer,
Oublier tout se que tu à fait pour.
J’ai vu la gloire te la mettre,
Te faire oublier,
Qu’on partira tous dans le plus simple appareil.
Les geois-bour jeté l’argent par les f’nêtres,
Des poubelles dans la rue, un père de famille, les flaire.
Les p’tites bouffonnes s’passionné pour gossip.
J’ai vu des boloss dans ma rue joué les grossistes.
J’ai vu des guerres, des familles dessimé,
Des rappeurs faire les personnages de bandes dessinés.
J’ai vu que si tu fais le fou,
Une balle te gifle.
Oui j’ai vu mon pote : Badiaga finir à Ry-Fleu.
J’ai vu que demain sera pire qu’hier.
J’ai vu des frères passé de la bicrav à la prière.
Ou des p’tits de 13 piges sur l’rin-té,
Oui j’ai vu la rue vide mes les Facebook blindé.
J’ai vu des darons bien finir au bistro,
Mes mecs de tess postulez dans la lice-po.
Ce ghettoyouth mettre le fond et la forme,
Pataté sa racli parce que cette pute faisais la folle.
Je me suis pas vu me levé à 12 heures,
Mais parlé mal à ma mère comme si j’m’étais fais tout seul.
J’ai vu que la mort effraie,
Que battre ne retraite qu’en on gagne ce n’est pas une défaite.
J’ai vu l’Espagne dev’nir championne d’Europe,
Ou j’ai vu le meusseu te faire péter les neurones.
L’argent sale te vise comme interprète,
J’ai vu la jalousie passé sa vie sur internet.
Des jenkis basculé dans la pim,
Un Un riche garé son merco devants un sans-abri.
J’au vu des schlasses dans des corps-à-corps,
Des frères sous intraveineuse de poliakov.
J’ai vu des mif’ qui s’déchire qui regrette,
Des fils s’envoyer leurs daronnes dans des maisons de retraites.
J’ai vu les êtres humains péché,
Des athées d’être la bonne parole au lieu de prêcher.
Un putain de youvoi rentré dans les rangs,
L’hypocrisie tire pour votre fils, toutes nos condoléances.
On est des yens survivant parmi les chiens,
Pour finir,
On n’est jamais mieux trahis que par les siens.