Les paroles de la chanson
« J'ai pas de soleil »
Soldat Louis
J’sais qu’t’as les j’tons d’rester seul dans le noir,
C’est pas bidon, moi aussi le soir
La télévision me fout un cafard
Quand l’émission se transforme en miroir
J’ai pas d’soleil à t’offir aujourd’hui,
Crois pas qu’le ciel soit toujours aussi triste, aussi gris
Moi j’aime beau m’dire que j’suis pas comme eux,
Souvent en rire et les traiter d’boeufs,
Quand ça m’arrive de jouer à leur jeux,
C’est qu’je dérive et crois-moi j’m’en veux
Dis-toi petit qu’le jour vaut bien la nuit
Pour les ennemis prédateurs qu’ont un oeil sur ta vieA que’qu’chose près, on est tous les mêmes
D’un peu plus près, c’est pas dit qu’on s’aime
Vu qu’on a l’même look, nos amours nos haines
Et on fout’not’ souk dans ta p’tite vie quand mêmeMine-toi pas môme, les couches j’connais merci
C’est l’lot des hommes, parfois ça les fait pleurer aussi
Vas-y insulte, gerbe dans ton landau
Sur les adultes, les barbus, les gros,
J’te donne pas tort quand on en fait trop,
C’est sans remord qu’les vieux deviennent salauds
Marre-toi mon gros, chiale, fais le cador,
T’as une maman gironde qui t’adore,
C’est pas d’la dope, tu peux m’faire confiance,
Moi c’est ma taupe, sur c’coup on a d’la chance
Dis-toi gamin les dieux vivent loin d’ici,
Vu qu’c’est pas bien, rappelle-leur qu’ils ont du taf aussi
C’est pas bidon, moi aussi le soir
La télévision me fout un cafard
Quand l’émission se transforme en miroir
J’ai pas d’soleil à t’offir aujourd’hui,
Crois pas qu’le ciel soit toujours aussi triste, aussi gris
Moi j’aime beau m’dire que j’suis pas comme eux,
Souvent en rire et les traiter d’boeufs,
Quand ça m’arrive de jouer à leur jeux,
C’est qu’je dérive et crois-moi j’m’en veux
Dis-toi petit qu’le jour vaut bien la nuit
Pour les ennemis prédateurs qu’ont un oeil sur ta vieA que’qu’chose près, on est tous les mêmes
D’un peu plus près, c’est pas dit qu’on s’aime
Vu qu’on a l’même look, nos amours nos haines
Et on fout’not’ souk dans ta p’tite vie quand mêmeMine-toi pas môme, les couches j’connais merci
C’est l’lot des hommes, parfois ça les fait pleurer aussi
Vas-y insulte, gerbe dans ton landau
Sur les adultes, les barbus, les gros,
J’te donne pas tort quand on en fait trop,
C’est sans remord qu’les vieux deviennent salauds
Marre-toi mon gros, chiale, fais le cador,
T’as une maman gironde qui t’adore,
C’est pas d’la dope, tu peux m’faire confiance,
Moi c’est ma taupe, sur c’coup on a d’la chance
Dis-toi gamin les dieux vivent loin d’ici,
Vu qu’c’est pas bien, rappelle-leur qu’ils ont du taf aussi