Les paroles de la chanson
« J'ai du mal »
Vincent Delbushaye
Bonjour Sophie, je viens vous dire
Combien mon âme vous appartient
Je vous supplie de consentir
À conjuguer nos lendemains
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de me contenter de rougir
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non
Ecoute mon gars, dans une file d’attente
On ne pratique pas la loi du plus fort
Quand j’suis pas là, tu fais ce qui te chante
Mais bon j’suis là, et si tu bouges un pied, t’es mort
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de m’écraser avec un grand sourire
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai dû mal me faire comprendre
Mais voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Mais bon
Tu sais mon fils que je t’admire
Tu grandis vite et tu grandis bien
Ta mère et moi, on veut te dire
Qu’on sera là, quel que soit ton chemin
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de lui payer une barbe-à-papa
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non!
Messieurs, mesdames, assis dans l’ombre
Je vous envie, mais ça fait rien
Ma prestation ne sera pas longue
Ce sera fini et je me serai rendu compte de rien
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Au lieu d’arriver et de vouloir repartir
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Mais non
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Au lieu de laisser ma vessie se remplir
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Mais non
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai dû mal me faire comprendre
Mais voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Mais bon
Voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Pardon
Combien mon âme vous appartient
Je vous supplie de consentir
À conjuguer nos lendemains
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de me contenter de rougir
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non
Ecoute mon gars, dans une file d’attente
On ne pratique pas la loi du plus fort
Quand j’suis pas là, tu fais ce qui te chante
Mais bon j’suis là, et si tu bouges un pied, t’es mort
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de m’écraser avec un grand sourire
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai dû mal me faire comprendre
Mais voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Mais bon
Tu sais mon fils que je t’admire
Tu grandis vite et tu grandis bien
Ta mère et moi, on veut te dire
Qu’on sera là, quel que soit ton chemin
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Au lieu de lui payer une barbe-à-papa
Voilà c’que j’aurais dû lui dire
Mais non!
Messieurs, mesdames, assis dans l’ombre
Je vous envie, mais ça fait rien
Ma prestation ne sera pas longue
Ce sera fini et je me serai rendu compte de rien
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Au lieu d’arriver et de vouloir repartir
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Mais non
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Au lieu de laisser ma vessie se remplir
Voilà c’que j’aurais dû vous dire
Mais non
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai du mal, j’ai du mal
J’ai dû mal me faire comprendre
Mais voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Mais bon
Voilà, j’trouve jamais rien à dire
Alors, j’fais semblant de réfléchir
Voilà j’sais jamais bien quoi dire
Pardon