Les paroles de la chanson
« J'accuse mon père »
Mozart, L'Opéra Rock
Mes erreurs, mes douleurs, mes pudeurs, mes regrets
mais pourquoi faire?
Tu t’en moques, tu révoques tout en bloc, tu balaies tout d’un revers.
Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres.
Demain tu diras : pourquoi n’ai-je pas vu les pièges,
Emporté dans l’odieux manège?
Des rancœurs, des frayeurs, des malheurs au cœur de l’amour amer,
des nuits noires, des déboires à la gloire des plaisirs éphémères.
J’ai beau prêché dans le désert, comment me taire?
Tourne la terre comme les hommes,
refaire encore les erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme,
le serpent danse alors que l’on s’enferme
dans les erreurs d’hier.
Pour grandir, t’accomplir et sortir de la rampe de séculaire,
dans mon ombre, les décombres des jours sombres, tu trouveras la lumière.
Ce sont les travers qui t’éclairent, comment me taire?
Tourne la terre comme les hommes,
refaire encore les erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme
le serpent danse alors que l’on s’enferme
dans les erreurs d’hier.
J’accuse mon père.
Tourne la terre comme les hommes,
nous sommes la somme des erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme,
le serpent danse alors que l’on s’enferme.
Tourne la terre autour des hommes,
il faut défaire ce que nous sommes
en embrassant nos pères.
mais pourquoi faire?
Tu t’en moques, tu révoques tout en bloc, tu balaies tout d’un revers.
Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres.
Demain tu diras : pourquoi n’ai-je pas vu les pièges,
Emporté dans l’odieux manège?
Des rancœurs, des frayeurs, des malheurs au cœur de l’amour amer,
des nuits noires, des déboires à la gloire des plaisirs éphémères.
J’ai beau prêché dans le désert, comment me taire?
Tourne la terre comme les hommes,
refaire encore les erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme,
le serpent danse alors que l’on s’enferme
dans les erreurs d’hier.
Pour grandir, t’accomplir et sortir de la rampe de séculaire,
dans mon ombre, les décombres des jours sombres, tu trouveras la lumière.
Ce sont les travers qui t’éclairent, comment me taire?
Tourne la terre comme les hommes,
refaire encore les erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme
le serpent danse alors que l’on s’enferme
dans les erreurs d’hier.
J’accuse mon père.
Tourne la terre comme les hommes,
nous sommes la somme des erreurs de nos pères.
On mord toujours la même pomme,
le serpent danse alors que l’on s’enferme.
Tourne la terre autour des hommes,
il faut défaire ce que nous sommes
en embrassant nos pères.