Les paroles de la chanson
« Isabelle »
Sheila
Lorsque Isabelle se réveille, elle descend de son grand lit
Sans un bruit et se dit :
«Va démêler ta chevelure, laver ta figure et puis
Mets tes beaux habits»
Hop là, elle grimpe sur la rampe de l’escalier et se laisse glisser
Insouciante du danger
Ça tourbillonne à une vitesse folle et elle s’amuse bien
Au nez des voisins
Lorsque Isabelle arrive chez le boulanger, elle demande aussitôt
Deux petits croissants chauds
Qu’elle dévore à toute allure avant de prendre le métro
Place Victor Hugo
Isabelle, belle, belle, tu cours
Isabelle, belle, belle, toujours
Isabelle, tu vas être en retard
Ses jambes agiles filent et se faufilent parmi les files
Des personnes qui s’empressent dans les couloirs
La voilà qui grimpe dans l’autobus de huit heures vingt-huit
On s’agite, elle s’agrippe
Au bras des messieurs qui sommeillent malgré le méli-mélo
Que font les autos
Isabelle, belle, belle, tu cours
Isabelle, belle, belle, toujours
Isabelle, où as-tu mis tes dossiers?
Qu’est-ce qui trotte dans ta tête?
Ne serait-ce pas une amourette?
Mais c’est déjà midi, l’heure d’aller déjeuner
Quelques minutes suffisent pour avaler un bon sandwich
Jambon-beurre et après
Une tarte aux ananas et derrière, un café noir bien serré
Pour se remonter
L’après-midi, son patron dicte le courrier qu’elle doit bien vite taper
Cacheter et timbrer
Mais le temps passe vite, il est déjà six heures moins le quart
Bye bye, au revoir
Au coin de la rue, le garçon qu’elle aime lui dit des mots merveilleux
Puis ils vont tous les deux
Se perdre dans la foule afin d’oublier un peu la journée
Enfin terminée
Sans un bruit et se dit :
«Va démêler ta chevelure, laver ta figure et puis
Mets tes beaux habits»
Hop là, elle grimpe sur la rampe de l’escalier et se laisse glisser
Insouciante du danger
Ça tourbillonne à une vitesse folle et elle s’amuse bien
Au nez des voisins
Lorsque Isabelle arrive chez le boulanger, elle demande aussitôt
Deux petits croissants chauds
Qu’elle dévore à toute allure avant de prendre le métro
Place Victor Hugo
Isabelle, belle, belle, tu cours
Isabelle, belle, belle, toujours
Isabelle, tu vas être en retard
Ses jambes agiles filent et se faufilent parmi les files
Des personnes qui s’empressent dans les couloirs
La voilà qui grimpe dans l’autobus de huit heures vingt-huit
On s’agite, elle s’agrippe
Au bras des messieurs qui sommeillent malgré le méli-mélo
Que font les autos
Isabelle, belle, belle, tu cours
Isabelle, belle, belle, toujours
Isabelle, où as-tu mis tes dossiers?
Qu’est-ce qui trotte dans ta tête?
Ne serait-ce pas une amourette?
Mais c’est déjà midi, l’heure d’aller déjeuner
Quelques minutes suffisent pour avaler un bon sandwich
Jambon-beurre et après
Une tarte aux ananas et derrière, un café noir bien serré
Pour se remonter
L’après-midi, son patron dicte le courrier qu’elle doit bien vite taper
Cacheter et timbrer
Mais le temps passe vite, il est déjà six heures moins le quart
Bye bye, au revoir
Au coin de la rue, le garçon qu’elle aime lui dit des mots merveilleux
Puis ils vont tous les deux
Se perdre dans la foule afin d’oublier un peu la journée
Enfin terminée