Les paroles de la chanson
« Inexorablement »
Isabelle Mayereau
Le monde peut gueuler d’étranges mélopées ou d’étranges prières
Vomir des fleurs séchées aux couleurs passagères
Accrocher à ses basques de longs cils d’argent
Le temps passe inexorablement
Et les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut mourir sur d’étranges parcours
Ou s’étouffer de rire sur quelques mots d’amour
Accrocher à son corps de lourds filets de sang
Le temps passe, inexorablement
Et encore les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut vomir d’une étrange manière
Cracher des bouts d’acier ou des morceaux de fer
Accrocher à sa voix des microphones géants
Le temps passe inexorablement
Et toujours les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Et toi, tu peux venir d’une étrange faiblesse
Me raconter ta vie ou même tes délires
Accrocher à mes heures de délicieux moments
Le temps passe, inexorablement
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut gueuler d’étranges mélopées ou d’étranges prières
Vomir des fleurs séchées aux couleurs passagères
Accrocher à ses basques de longs cils d’argent
Le temps passe inexorablement
Et les mêmes radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim {ad lib}
Vomir des fleurs séchées aux couleurs passagères
Accrocher à ses basques de longs cils d’argent
Le temps passe inexorablement
Et les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut mourir sur d’étranges parcours
Ou s’étouffer de rire sur quelques mots d’amour
Accrocher à son corps de lourds filets de sang
Le temps passe, inexorablement
Et encore les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut vomir d’une étrange manière
Cracher des bouts d’acier ou des morceaux de fer
Accrocher à sa voix des microphones géants
Le temps passe inexorablement
Et toujours les radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Et toi, tu peux venir d’une étrange faiblesse
Me raconter ta vie ou même tes délires
Accrocher à mes heures de délicieux moments
Le temps passe, inexorablement
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim
Le monde peut gueuler d’étranges mélopées ou d’étranges prières
Vomir des fleurs séchées aux couleurs passagères
Accrocher à ses basques de longs cils d’argent
Le temps passe inexorablement
Et les mêmes radios...
Dou fi doum di doum dé, dou fi doum dé tou tim {ad lib}