Les paroles de la chanson
« Immensément »
Robert Charlebois
Je dors avec toi dans tes yeux verts
c’est mon chez moi, mon univers
je rêve de toi, de tous tes rois
de la Nouvelle France et des trois-mâts
je prends tes châteaux, ton lavandou
je te donne mon fleuve, mes caribous
tu me fais goûter ta langue française
j’t’apprens à marcher sur ma neige
Etre aimé par quelqu’un qu’on aime
la vieille rengaine américaine
c’est pas rimbaud, c’est pas verlaine
mais c’est si beau à dire quand même
Ange de mes nuits, femme de ma vie
belle de minuit jusqu’à midi
quand t’s toute nue, j’en veux encore
parce que j’apprends ton cœur par corps
le p’tit gratte ukulélé
le grand voudrait des gants de hockey
un jour, y voudront s’en aller
O.K...O.k...o.k...
y ramèneront à la maison
des bébés tronds qui auront mon nom
dans ma cabane au Canada
y aura toujours nos deux p’tits gars
Etre aimé par quelqu’un qu’on aime
la vieille rengaine américaine
c’pas toujours des pêches à la crème
mais n’empêche que j’vous aime quand même
Je sais qu’un jour quand vous serez grands
vous me verrez plus qu’au p’tit écran
dites à votre mère que j’l’aimais tant
que je l’aimais tant, immensément,
dites à votre mère que j’l’aimais tant
comme dans les films en noir et blanc.
c’est mon chez moi, mon univers
je rêve de toi, de tous tes rois
de la Nouvelle France et des trois-mâts
je prends tes châteaux, ton lavandou
je te donne mon fleuve, mes caribous
tu me fais goûter ta langue française
j’t’apprens à marcher sur ma neige
Etre aimé par quelqu’un qu’on aime
la vieille rengaine américaine
c’est pas rimbaud, c’est pas verlaine
mais c’est si beau à dire quand même
Ange de mes nuits, femme de ma vie
belle de minuit jusqu’à midi
quand t’s toute nue, j’en veux encore
parce que j’apprends ton cœur par corps
le p’tit gratte ukulélé
le grand voudrait des gants de hockey
un jour, y voudront s’en aller
O.K...O.k...o.k...
y ramèneront à la maison
des bébés tronds qui auront mon nom
dans ma cabane au Canada
y aura toujours nos deux p’tits gars
Etre aimé par quelqu’un qu’on aime
la vieille rengaine américaine
c’pas toujours des pêches à la crème
mais n’empêche que j’vous aime quand même
Je sais qu’un jour quand vous serez grands
vous me verrez plus qu’au p’tit écran
dites à votre mère que j’l’aimais tant
que je l’aimais tant, immensément,
dites à votre mère que j’l’aimais tant
comme dans les films en noir et blanc.