Les paroles de la chanson
« Ils s'aimaient »
Salvatore Adamo
Elle avait les cheveux qui coulaient en rivière
Jusqu’au bas de son dos, elle en était très fière
Elle avait des grands yeux, elle avait tout pour plaire
Elle rêvait de s’envoler loin de son quartier de misère
Il voulait l’épouser, oui mais comment faire?
Il n’avait pas de boulot, il ne possédait rien
Qu’une montre en argent héritée de son père
Et encore, sans la chaîne, ce qui faisait encore moins
Mais ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient tendrement, sans chichis, sans manières
D’un amour grandissant qui eut bientôt un an
Qu’allaient-ils donc s’offrir pour cet anniversaire?
Ils n’avaient que leurs rêves, leur jeunesse et leur temps
Mais ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient un peu plus chaque jour
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, c’est merveilleux l’amour
Elle passa par hasard devant un antiquaire
Elle vit un étalage, une chaîne en argent
Elle coupa sans regrets ses cheveux en rivière
Pour les vendre au coiffeur, d’un amoureux élan
Mais quelques heures plus tôt, chez le même antiquaire
Il avait vu un peigne, lui aussi en argent
Comme rien n’était trop beau pour ses cheveux en rivière
Il sacrifia sa montre d’un même touchant élan
Quand il la revit le soir, il la trouva très moche
Elle lui dit «Qu’est-ce t’as donc, tu demandes l’heure à tout va?»
Elle mit le peigne dans son sac, lui la chaîne dans sa poche
Et l’amour dans tout ça prit peur et s’envola
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient mais parfois la vie vous joue des tours
Ils s’aimaient mais on ne saura jamais à quoi ça tient l’amour
Quand il la revit le soir, il la reconnut à peine
Elle lui dit «Mon amour, t’as plus d’une heure de retard»
Ils ont ri et pleuré devant le peigne et la chaîne
Mais l’amour triomphant prit un nouveau départ
Car ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimèrent un peu plus chaque jour
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, c’est merveilleux l’amour
Jusqu’au bas de son dos, elle en était très fière
Elle avait des grands yeux, elle avait tout pour plaire
Elle rêvait de s’envoler loin de son quartier de misère
Il voulait l’épouser, oui mais comment faire?
Il n’avait pas de boulot, il ne possédait rien
Qu’une montre en argent héritée de son père
Et encore, sans la chaîne, ce qui faisait encore moins
Mais ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient tendrement, sans chichis, sans manières
D’un amour grandissant qui eut bientôt un an
Qu’allaient-ils donc s’offrir pour cet anniversaire?
Ils n’avaient que leurs rêves, leur jeunesse et leur temps
Mais ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient un peu plus chaque jour
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, c’est merveilleux l’amour
Elle passa par hasard devant un antiquaire
Elle vit un étalage, une chaîne en argent
Elle coupa sans regrets ses cheveux en rivière
Pour les vendre au coiffeur, d’un amoureux élan
Mais quelques heures plus tôt, chez le même antiquaire
Il avait vu un peigne, lui aussi en argent
Comme rien n’était trop beau pour ses cheveux en rivière
Il sacrifia sa montre d’un même touchant élan
Quand il la revit le soir, il la trouva très moche
Elle lui dit «Qu’est-ce t’as donc, tu demandes l’heure à tout va?»
Elle mit le peigne dans son sac, lui la chaîne dans sa poche
Et l’amour dans tout ça prit peur et s’envola
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient mais parfois la vie vous joue des tours
Ils s’aimaient mais on ne saura jamais à quoi ça tient l’amour
Quand il la revit le soir, il la reconnut à peine
Elle lui dit «Mon amour, t’as plus d’une heure de retard»
Ils ont ri et pleuré devant le peigne et la chaîne
Mais l’amour triomphant prit un nouveau départ
Car ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimèrent un peu plus chaque jour
Ils s’aimaient, ils s’aimaient, ils s’aimaient, c’est merveilleux l’amour