Les paroles de la chanson
« Ileus terrebelle »
Eths
Crève leurs yeux d’un seul coup de dent.
Leurs ventres au fond des cuisses humaines.
J’ai tellement faim que j’ai bouffé leur queue.
Sucé leurs cœur, ne pas nourrir le baigneur.
Ouvre la boîte à cervelle, celle qui s’écrase sous ta semelle.
Traque mon animal, l’insecte qui m’appelle.
Vers mon intestin frêle.
Sans matière qui s’emmêle, qui macère.
Debout dans les égouts, je me dégoute.
Perpétuelle déglutition à vide, laisse-moi vomir.
Je visite mon piège qui dort, mon carnivore.
Nébuleux voyage, je berce mon naufrage, ce souffle froid anorexique.
Ravive ma peur, ma puanteur boulimique.
Elle rapporte les tombes, les mouches espionnent, abrègent.
Ce lent parcours en silence escortant le temps, mon compte à rebours.
Je suis malade à ton image, l’eau sèche, incommutable.
Je suis malade comme toutes ces...
Femmes, femmes opaques, femmes barbares.
Femmes opaques, femmes, femmes barbares, femmes.
Ma génuflexion, l’extrême perfection.
Perfection, femmes, femmes, ma génuflexion.
Leurs ventres au fond des cuisses humaines.
J’ai tellement faim que j’ai bouffé leur queue.
Sucé leurs cœur, ne pas nourrir le baigneur.
Ouvre la boîte à cervelle, celle qui s’écrase sous ta semelle.
Traque mon animal, l’insecte qui m’appelle.
Vers mon intestin frêle.
Sans matière qui s’emmêle, qui macère.
Debout dans les égouts, je me dégoute.
Perpétuelle déglutition à vide, laisse-moi vomir.
Je visite mon piège qui dort, mon carnivore.
Nébuleux voyage, je berce mon naufrage, ce souffle froid anorexique.
Ravive ma peur, ma puanteur boulimique.
Elle rapporte les tombes, les mouches espionnent, abrègent.
Ce lent parcours en silence escortant le temps, mon compte à rebours.
Je suis malade à ton image, l’eau sèche, incommutable.
Je suis malade comme toutes ces...
Femmes, femmes opaques, femmes barbares.
Femmes opaques, femmes, femmes barbares, femmes.
Ma génuflexion, l’extrême perfection.
Perfection, femmes, femmes, ma génuflexion.