Les paroles de la chanson
« Il y avait une ville »
Claude Nougaro
Que se passe-t-il?
J’n’y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien
Je m’souviens que j’marchais
Que j’marchais dans une rue
Au milieu d’la cohue
Sous un joyeux soleil de mai
C’était plein de couleurs
De mouvements et de bruits
Une fille m’a souri
Et je m’souviens que j’la suivais
Je la suivais
Sous le joyeux soleil de mai
Chemin faisant j’imaginais
Un mot gentil pour l’aborder
Et puis voici
Que dans le ciel bleu de midi
De plus en plus fort j’entendis
Comme arrivant de l’infini
Ce drôle de bruit
Ce drôle de bruit
Je m’souviens que les gens
S’arrêtèrent de marcher
Et d’un air étonné
Tout le monde a levé le nez
Vers le ciel angélique
Couleur de paradis
D’où sortait cette musique
Comme accordée sur l’infini
C’était étrange
Est-ce qu’il allait neiger des anges
Les gens guettaient dans un mélange
D’inquiétude et d’amusement
Et brusquement
Il y eut un éclair aveuglant
Et dans un souffle incandescent
Les murs se mirent à trembler
Que s’est-il passé?
J’y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien
Y a plus rien qu’un désert
De gravats, de poussière
Qu’un silence à hurler
A la place où il y avait
Une ville qui battait
Comme un cœur prodigieux
Une fille dont les yeux
Etaient pleins du soleil de mai
Mon Dieu, mon Dieu
Faites que ce soit
Un mauvais rêve
Réveillez-moi
Réveillez-moi
Réveillez-moi
J’n’y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien
Je m’souviens que j’marchais
Que j’marchais dans une rue
Au milieu d’la cohue
Sous un joyeux soleil de mai
C’était plein de couleurs
De mouvements et de bruits
Une fille m’a souri
Et je m’souviens que j’la suivais
Je la suivais
Sous le joyeux soleil de mai
Chemin faisant j’imaginais
Un mot gentil pour l’aborder
Et puis voici
Que dans le ciel bleu de midi
De plus en plus fort j’entendis
Comme arrivant de l’infini
Ce drôle de bruit
Ce drôle de bruit
Je m’souviens que les gens
S’arrêtèrent de marcher
Et d’un air étonné
Tout le monde a levé le nez
Vers le ciel angélique
Couleur de paradis
D’où sortait cette musique
Comme accordée sur l’infini
C’était étrange
Est-ce qu’il allait neiger des anges
Les gens guettaient dans un mélange
D’inquiétude et d’amusement
Et brusquement
Il y eut un éclair aveuglant
Et dans un souffle incandescent
Les murs se mirent à trembler
Que s’est-il passé?
J’y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien
Y a plus rien qu’un désert
De gravats, de poussière
Qu’un silence à hurler
A la place où il y avait
Une ville qui battait
Comme un cœur prodigieux
Une fille dont les yeux
Etaient pleins du soleil de mai
Mon Dieu, mon Dieu
Faites que ce soit
Un mauvais rêve
Réveillez-moi
Réveillez-moi
Réveillez-moi